Je m'avançai vers les hautes-pierres, impressionner. Comme je n'avais été apprentis, je n'avais jamais vu la pierre de lune. Une odeur titilla mes narine et je secouai la tête avant de continuer à avancer. L'odeur me repris et je vis une ombre. Je sortis les griffes, prudent.

J'étais près des hautes pierres à contempler le ciel.Je sentis soudain la présence d'un chat du clan de l'ombre et je décidai alors de me dissimuler parmi les roches et de partir.J'étais des plus discret mais il fallait que je passe près de lui pour pouvoir partir alors j'essaya d'abord la méthode furtive mais en voyant qu'il sortait les griffes,je sortis de mes cachettes en marchant tranquillement.Je commençai un dialogue.
"Bonjour,comment vas-tu?"

-bonjour. Je vais bien et toi?
J'étudiais attentivement le félin, ma queue oscillante de droite à gauche.

"Très bien merci."dis-je en souriant et en fermant les yeux.
Je les rouvrit,pencha ma tête et demanda:
"Comment t'appelles-tu?"

-Jal, murmurai-je légèrement acide.

"Moi c'est Coeur de Jais."dis-je en ne faisant pas attention à son ton acide.
"Tu viens pour quoi?"

Je ne repondis pas.

"Les clans sont devenus muets maintenant?"demandais-je en remuant les moustaches amusé.

-Je viens suelment voir la pierre de lune.

"Tout seul?Tu n'as pourtant pas l'air d'un guérisseur..."

-Je sais. Je ne suis jamais venu ici, c'est tout.

"Pourtant tu n'as pas la taille d'un apprenti..."

-J'ai 45 lunes...

"Oui,je me disais bien.Mais alors pourquoi viens-tu seulement maintenant à la pierre de lune et seul?"

-Je suis un ancien Solitaire et toi un ancien Clanique.

"Comment sais-tu ça?"demandais-je soudain suspicieux.

-Cœur de Jais est un nom typique des Clanique, soufflai-je en levant les yeux au ciel.

"Pas faux..."
Je m'étira.
"Sinon,pourquoi es-tu allé dans un clan puisque tu étais solitaire?"

J'aussai les épaule.

"Alors?"demandais-je en me lavant une patte.

-Je m’ennuyer.

Je ris aux éclats.
"Moi je me lassais de mon clan.Je m'ennuyais de plus en plus."

-L'un as remplacer l'autre!

"Tout as fait..."dis-je encore sous le rire.

Je riai aussi. Cela faisai du bien.