Je venais de me réveiller. Le soleil était au ras des buissons qui entouraient le camps. Je m'étirai soigneusement et me leva. L'astre baignait le campement d'une lumière rougeâtre qui donnait un peu de chaleur au matin.

Je sortit à pas de loup de la tanière des guerriers et le vent vint me rafraîchir. Je trotinna jusqu'au tas de gibier. Je fut déçue en n'y voyant qu'une musaraigne rabougrie." Les reines et chatons avnt tout " pensais-je à regret. Je ramassa le rongeur et l'emmènna à Graine Solaire et Petite Brise. Ils me remercièrent simplement et je revint à la clairière. J'avais envie de dormir à ne voir personne.... Tout à coup, j'aperçu une masse blanche s'approcher. Je tourna  la tête pour mieux la voir et reconnu Embrasement des Flocons. Le guerrier blanc venait de se réveiller à voir sa mine endormie. Je le héla pour qu'il me tienne compagnie.

Tu sors de ta tanière. Le pelage en bataille. La veillée a été dur. Mais tu n'as pas beaucoup dormi. Encore et encore ses cauchemars. Mais tu marches lentement vers le tas de gibier. Avant de te retourner boudeur en voyant qu'il n'y avait plus rien. Tu n'as vraiment pas le courage d'aller chasser. Ni la patience. Quoique. Ca te défoulerait.

Tu as l'impression de sortir la tête d'un seau d'eau froide. Tu remarques que tes muscles sont tendus et que ta nuque est rentrée dans tes épaules.

Mais tu continues de regarder vers la lisière. Tu sens ton fessier se poser sur le sol sans que tu n'ai eu besoin de le lui demander. Tu es décidemment complètement démotivé.

Tu décides de faire demi tour, la queue trainant sur le sol. Tu as l'intention de retourner dormir. Rattraper le sommeil que tu as perdu. Mais le monde entier est décidemment contre toi.

Une femelle s'approche de toi. Tu recules. Elle s'assoit et te salue d'un signe du museau. Tu lui réponds à contre cœur. Comment s'appel-elle déjà ?

- Qui-a-t-il ?

" Qui y'a t'il ?"

Le guerrier semblait très fatigué.
 Je pencha la tête de côté et lui dit : 
" Toi, tu n'as pas bien dormi...."
 Je ne savais pas beaucoup de chose à son sujet, lui.... je peinais à croire que je le voyait tout les jours.....
( désolée pour le rp court, je dois faire vite )

- J'étais de garde hier soir je te signale. Je suis nouveau guerrier. Miaules-tu glacial. Cette femelle ne te connaît pas. Ca se voit. Ca t'agace.

Tu es amère, mais reste de glace. Tu n'as pas envie de jouer les nounous.

- Tu ne me connais pas. Alors pourquoi venir ainsi à ma rencontre ? 

(désolée c'est court)

" j'étais de garde hier soir je te signale. Je suis nouveau guerrier"

Il se tut un instant et reprit:
" Tu ne me connais pas. Alors pourquoi venir ainsi à ma rencontre ?"

Cette phrase  me donna un frisson. Nous sommes camarades de Clan , que je sache ! 

" Et bien, je veut te connaître mieux. Appredre des choses sur toi !"

- Pourquoi ? Demandes-tu impassible. Cette situation t'énerve. Tu n'aimes pas cette situation. C'est agaçant que cette reine te prenne pour son ami de longue date alors qu'elle ne sait même pas que tu viens d'être nommé guerrier.

Et puis à quoi bon t'avoir nommé guerrier ?! Tu es venu ici par contraintes. Même si intégrer les clans était ton choix. Tu y a perdu tout ce que tu aimais.

Tes choix, maintenant, tu les fais par toi même. Tu choisis ta famille, tes amis. Compagne ? TCH ! Plus jamais ça ! La famille ? Elle disparaitra de toute façon ! Tout disparaît. Comme de simple illusions, des rêves éphémères qui font mal !

(Dis, pour que tes rps soient mieux, je peux te donner quelques conseils ?
- Décris plus, le paysage, ton personnage, le décors comme ce qu'il ressent etc
- Je vais te donne le même conseil que j'ai donné à Crystal : fais en sorte qu'on veuille connaître ton personnage. Je dis tout le temps que j'adore mes personnages, et c'est vrai, mais je les aime parce que je sais que JE les ai crées, JE les ai forgés. Leur caractère je n'y réfléchis pas, c'est comme si c'était moi.
- Je sais que c'est très dur, mais essaye de faire des phrases plus travaillées. Avec plus d'adjectifs, des figures de style etc)

Tu agites le bout de la queue agacé. Cet entretient a assez duré. Tu en as assez d'être sa bête de foire. Tu tournes les talons et t'éloignes, les yeux réduits à deux fentes.

Tu t'enfonces dans la tanière des guerriers. Tu t'y roules en boule et tente de trouver le sommeil que tu as perdu. Tu ne jettes pas un regard en arrière. Quel était le nom de cette reine ? Et le père de ses chatons ? Tu n'en sais rien, pas vraiment surpris de ne pas vouloir le savoir.