Le vent froid me fouettait le museau. J'étais sur le haut de la falaise, mon endroit préférait, depuis le milieu de la nuit, par peur de le manqué. Calme-toi, pensais-je, il va venir. Enfin, je l'espère... Il était si... distrait quand il m'a proposé de se voir. Il avait l'air si lointain... Je soupir. Calme-toi, me dis-je pour la énième fois, calme-toi...
Le soleil avait déjà levé depuis peu. Calme-toi, calme-toi...

J'arrivai en courant
-désolé!
Je la regarda elle tremblait de froid
-t'as froid?
Je lui lécha le museau pour la réchauffer

Je ronronne. Il est venu, il est venu...
-Merci. Que veux-tu me dire ?

-je ...je ne sais pas par quoi commencer....

-Ben par le commencement ! dis-je, pour rigolé.
Je me blottie contre lui pour l'encourager.

Bah...je je t'aime!

Je recule, surprise.
-Mais...mais... bégailais-je, mais...

-désolé...
Je partis en pleurant

-Non ne part pas, ne part pas, NE PART PAS !
Je lui coure après mais je n'arrive pas à le rattrapé.
Voilà, pensais-je, j'ai fait l'idiote. Quelle cervelle de sourie je fais ! N'est pas ce que je voulais, qu'il m'aime ? Il m'avoue qu'il m'aime et moi, qu'est que je fais ? Tous qu'il faut pas. Mais pourquoi, pourquoi, POURQUOI ???
Les larmes roulent sur mon museau bien malgré moi. J'ai tout gâché, j'ai gâché...
Je reste là, le dos vouté, le museau tourné vers la terre, à pleurer.

Je retourne vers elle
-je t'aime vraiment tu sais...
Je commença a lui lécher la fourrure
-arrête de pleurer et viens!

Je me tourne vers lui, les yeux pleins de larmes.
-Oh, Nuage de Loup, moi aussi je t'aime !
Je me blottie contre lui.

Je me blottis contre elle sentant sa douce odeur m'emplir les narines et je lui lécha vigoureusement le museau pour la réchauffer

Je me blottie contre lui et profite du moment présent. Quelques minutes passent avant que je lui demande:
-Que voulais-tu me montré ?

Je l'accompagna au bord de la falaise et lui montra le soleil couchant
-ça
Et Admirais la vue

Je me blottie plus fort contre lui et regarde le soleil se couchait en colorant la lande de rouge. Ce spectacle me coupe le souffle, tellement il était impressionant.
Oui, murmurais-je, c'est magifique. C'est mon endroit préfèré.
Je pouvais  resté là des heures avec lui a regardaient le jour laisser place à la nuit...
-On reste là ?

-ouui

Je ferme les yeux et me laisse berçait par sa respiration. Je fini par m'endormir, heureuse.