*Je me blottis contre mon frère qui dit.*
-Nos sœurs et Frères sont eux aussi chez des maîtres,à vrai dire,Astral m'a été confié par ma mère et non choisit pour venir ici et pour te répondre,oui,notre mère est assez âgé.

J'hérissai le poil et sortis les griffes " Ces bipèdes sont horribles ! Je vais vous aider à retrouver votre famille au complet ! "

On s'est où elle se trouve et puis,nous sommes des chats domestiques,c'est notre vie d'être séparé de notre mère,même si cela nous rend un peu triste.

Je l'ai regardé incompréhensible. " C'est la faute de ses bipèdes ça ! Ils détruisent tout ! Absolument tout... "

-Tu ne peux pas comprendre la vie d'un chat domestique.
*Cracha-t-il.Je me recroquevilla entre ses pattes puis me voyant ainsi,il se calma et dit.*
-C'est notre vie et on ne peut rien y changer.Si ma mère ne m'avait pas confier Astral,les maîtres qui s'occupe de nos parents l'auront certainement tuer.Ici,elle est en sécurité auprès de moi.
*Il me donna quelque coup de langue à rebrousse poil se qui me détendis un peu.*

Je lui montrai les crocs. Si je ne peux pas comprendre ?! " Les bipèdes m'ont capturé. Je ne sais même plus combien de temps ! Tout ce que je sais c'est que je vivais dans une petite cage. Jamais je ne pouvais sortir ! La cage était tellement petite qu'en dormant je me prenais souvent la gamelle d'eau sur la tête. Le soir j'avais le droit a une petite portion de nourriture à bipède. Plus tard, ils m'ont transporté dans un monstre et ont donné la cage a un autre bipède toujours en blanc. Un jour ce bipède à ouvert la cage et m'a attrapé par la peau du coup. Je me suis débattue, je l'ai griffé au visage, j'ai planté mes crocs dans un de ses yeux. Il avait hurlé. J'étais frêle dû au manque de nourriture et la séquestration. Il m'a jeté violemment dans la cage. Il s'est mis un truc sur l'oeil puis il m'a mis une aiguille dans la nuque. A mon réveil, j'étais attachée et devant moi ce tenait le bipède avec un gros et long bâton. Il m'a frappé. Tout les jours s'étaient la même chose. Comme je ne voulais plus manger et plus boire, il m'injectait tout dans la gueule. Jusqu'au jour où un homme est venu chez lui. Je ne sais plus ce qu'il c'est passé. J'ai peut - être oublié ou je suis tombée dans les pommes mais à mon réveil, j'étais dans la forêt où je vis aujourd'hui. Alors oui, je comprends la violence des bipèdes. " Je n'en avais jamais parlé. Je m'écroulai par terre me rappelant de tout les détails.

*Sardon baissa les oreilles et lui dit.*
-Tous les bipèdes,comme tu les appelles,ne sont pas aussi cruelle,la preuve avec nos maîtres.Ils sont du genre à aider les animaux que de les voir souffrir.Quand ils ont comprit qu'Astral était aveugle,la plus part l'aurait certainement abandonner mais nos maîtres ont décider de la gardé et on confiance,espérant que malgré son handicape qu'elle saura se débrouiller.On est libre de nos mouvements et libre de faire se qu'on veut.Notre nourriture est assez différente des autres chats domestique qui ne mangent que des croquettes.
*Il montra ensuite les lapins qui sont dans une cage.*
-De temps à autre quand nos maîtres les tues pour les mangeaient,moi et Astral avons le droit à quelque morceau de viande et cala nous déplaît pas car c'est plutôt bon.

" Qui te dit qu'il ne vous nourrisse pas pour vous mangez après ? " En réalité, la ville, les bipèdes m'avaient traumatisé...

*La fourrure du matou se hérissa et regard la guerrière d'un aire mauvais mais essaya de gardé son calme.*
-Je me doute qu'être enfermé dans une cage,c'est terrible,je l'imagine très bien mais tous ne sont pas pareil.
*Une idée germa dans mon esprit,puis je quitta les pattes de mon frère pour rentré dans la maison de mes maîtres.*

Je le plaquai au sol irascible " Si terrible ?! Je pouvais pas bouger ! Sinon l'eau se renverser ! "

*Le matou la jeta au sol et sorti les griffes.Quand à moi,je sortis avec un bout de viande que nos maîtres nous avaient donner la veille à moi et mon frère.Je m'approcha d'Etoile Brune puis posa le bout de viande à ses pattes.*
Tu veux y goûter?
*Demandai-je en la fixant.*

Je me calmais et baissai la tête " Non merci, c'est votre morceau, c'est juste que j'ai peur des bipèdes et de la ville alors quand je viens les choses ne se passent jamais vraiment bien... ", avouai - je.

Tu devrais c'est très bon.
*Dis-je en posant le bout de viande vers elle.*

Je penchai la tête sur le côté puis souris  "  Merci mais c'est votre nourriture. Je n'y toucherai pas.  "  Je lui fis un clin d'oeil  "  Meilleur que la souris ? "

C'est tout aussi bon,tu devrais goûter.
*Insistai-je.Je la fixai sans un mot.*

Je ronronnai " Merci mais je n'ai pas le droit d'en manger. "

Bon si tu n'en veux pas,je vais le remettre dans ma gamelle.
*Je pris le bout de viande et retourna dans la maison de mes maîtres.Sardon alla se percher sur la clôture.Je sortis puis en le sentant s'éloigner,je lui demanda.*
Tu vas où?
-J'en ai pas pour long,je vais juste rendre visite à quelqu'un.
*Mon frère parti en marchant sur la clôture et moi,je resta assise sans un mot.*

Je regardai le chat d'un air mystérieux. Je m'avançai vers Astral  "  Merci beaucoup mais c'est juste que dans le code du guerrier on a pas le droit d'en manger. "

Le code du guerrier?C'est quoi?
*Lui demandai-je en penchant la tête sur le côté.*

" Le code du guerrier correspond au règle qu'on doit suivre. C'est le fondement des Clans et cette règle, en fait parti. ", lui expliquais - je en souriant.

Je vois mais comment vous faites,car la forêt ne doit pas toujours avoir plein de quoi manger.Vous vous y prenez comment pour vous nourrir quand il n'y a rien?
*J'étais vraiment curieuse sur la façon dont elle vit.*

Je fronçai les sourcils " Dans le Clan de l'Ombre y a le charnier. On mange beaucoup de rat l'hiver mais le problème c'est que pour les tuer faut être organiser ! Ils sont hargneux ! "

*Je la fixai sans un mot intéresser par se qu'elle disait.Au bout de cinq à dix minutes plus tard,l'odeur de mon frère vint jusqu'à mon museau.Le matou nous regarda un instant et rentra dans la maison de nos maîtres.*
Je vais devoir rentré,mes maîtres ne tarderont plus à arriver.Je suppose que tu vas rentré chez toi.En tout cas,c'était un plaisir de faire ta connaissance.
*Je la salua et retourna moi aussi dans la maison de nos maîtres.*

( Fin ? )

Je souris " J'ai été ravie aussi de faire ta connaissance. Bonne journée ! " Je partis aussitôt en trottinant vers la forêt.