Tu ouvres les yeux. Deux pierres vertes apparaissent alors. Tu bailles sans ménagement. Tu as senti un courant d'air caressé ta douce fourrure et un léger frisson t'a alors secoué. Et t'a tiré du sommeil. Tu as les membres encore engourdi. Tu te lèves donc pour les supprimer. Tu sors en prenant soins de réveiller personne. Tu sais très bien que c'est désagréable d'être tiré brutalement du sommeil. La saison des feuilles mortes fatiguait assez les guerriers comme ca. Tu t'etires puis lèves le museau en fermant les yeux pour savourer un faible coup de vent. Tu finis par sortir de ta rêverie et tu aperçois Pelage de Cèdre qui déguste une souris. Tu te diriges en trotinant vers lui.

Pelage de Cèdres : Oui et toi ? Mélodie des Gouttes ?

Tu lui souris. Il t'a reconnu et pourtant, il n'a pas ta mémoire d'éléphants. Ça se voyait à son hésitation sur le nom. Toi, tu étais persuadé qui il était. Mais il savait qui tu étais. C'est tout ce qui t'importait. Toi, simpliste ? Surement. Tu étais facilement joyeuse et Tu riais pour un rien. Et tout cela, depuis la mort de ta famille. Ça avait changé la rebelle que tu étais. Ils avaient connu qu'une Mélodie des Gouttes rebelle et insouciante, ils auraient aimer ce que tu étais devenue. Tu lui répondit :

Mélodie des Gouttes : Oui, c'est ça. Tout juste. J'aurais dormi un peu plus longtemps si tu n'avais pas provoquer une tornade en passant.

Évidemment, tu le taquinai. Il avait été très discret. Tu étais juste en train de te réveiller. Tu pris un moineau dans le tas de gibier et tu pris place à ses côtés.
Curieuse. Oh que oui. Mais tu aimais aussi connaître tes camarades de clan. Comme ça, si il fallait sauver quelqu'un, tu savais si il en valait la peine ou non... On reste soudé dans un clan. Enfin, pratiquement...