Tu t'enfonces dans les hautes herbes qui bordent ton camps. Tu as besoin de t'échapper de ce camp de malheur. Avec tout ses cerveaux en pudding. Respirer un air sain. Pas pollué par une odeur de lait. Le parfum sucré et gras du lait des porteuses du camp te donne la nausée depuis que tu sais que la petite femelle noire aux yeux bleu n'est pas ta fille. En vérité, tu n'as jamais eu d'enfant. Et aucun des chatons de Douce Huile ne te considère comme leur père, car leur père, c'est l'ancien guérisseur du clan du vent. Comment leur en vouloir ? Comment en vouloir aux venteux de ne pas te considérer comme un guerrier respectable en étant un ancien solitaire ?

Tu ne cherches pas l'acceptation. Tu ne cherches pas la rédemption. Car jamais tu ne l'auras. Tu n'auras rien en ce monde. Il est trop tard pour toi. Jamais tu ne pourra être à nouveau heureux un jour. Et ca te met hors de toi. Tu as essayé de t'adapter. Tu n'y es jamais arrivé. Et tes ancêtres te l'ont fait payer. Ils t'ont d'abord enlevé ta mère pour voir si tu continuais de les suivre. Tu n'as pas suivis le chemin qu'ils pensaient. Tu as suivis le chemin de la colère et de la rancœur. Ils t'ont puni. Ils t'ont enlevé ton père. Puis ta sœur. Puis ta compagne. Puis ils ont rendu la seule des enfants de Douce Huile qui t'appréciait un minimum folle. Ils la font souffrir plus encore qu'ils ne t'ont fait souffrir.

Ta haine, que tu gardes comme toujours en toi. Tu la déchaines à la chasse. Tu bondis agilement sur un campagnol. Tu l'enterres après l'avoir tué. Tu bondis dans un arbre. Tu dois déchaîner ta rage dans l'activité. Mais autant que ça serve à quelque chose.

Ton butin de chasse est conséquent. Finalement, tu bondis sur le sol, tu es au bord de la frontière. Une odeur imprègne ta truffe. Tu te cambres et attend que l'odeur disparaisse ou montre le bout de son nez.

La brise matinal était fraîche. Le soleil n'éblouissait en rien le camp et ne le réchauffait pas non plus avec ses rayons. Nuage de Rose n'était qu'une apprentie comme les autres. Elle se réveilla en sursaut après un cauchemard sanglant. " Serais je vraiment capable de tuer ?" se demanda t-elle "Bien sûr que non ! Je suivrait le code du guerrier" elle se leva et s'étira. Nuage de Braise dormait non loin de la chatte. Il ronflait tellement fort qu'elle se demandait si ce n'etait pas lui qui l'avait réveiller. Elle sortie de la tanière des apprentis. L'odeur de son mentor, Plume du Fléau, avait tellement changer. Ça sentait le lait à pleine truffe. Elle se dit qu'elle allait lui faire un petit coucou.

Entrée dans la pouponnière, elle vit le compagnon de la reine. Il avait un peu aider a une seance d'entrainement. On va dire que la relation entre elle et le male c'etait un peu ameliorer lorsqu'elle lui avait expliquer comment elle savait beaucoup de chose sur lui. Enfin, il y'a que ce guerrier qui le sait.

Après avoir ete voir son mentor, elle savait tres bien que les entrainement se ferais de plus en plus rare desormais. Elle allait etre en retard sur son apprentissage ! La novice alla demandée a son chef de sortir seule pour se changer un peu les idées. Meme si celui-ci etait contre, il accepta apres un long moment de persuasion.

Elle sortie du camp toute contente. C'etait la premiere fois qu'elle sortait seule ! Elle etait a la fois excitée et un peu perdue. Niage de Rose sentie l'odeur d'une proie. Elle se tapit au sol et sauta sur le rongeur loesqu'elle l'aperçue. Elle la tua d'un cou sec de la patte. L'apprentie l'enterra et s'eloigna pres de la frontiere entre son Clan et celui du Clan des Venteux. Son odorat la signala que un autre felin etait dans les parrages. Elle se cacha derriere un buisson. " Je ne veut pas que l'on me trouve ou me vois sinon j'aurais de grave ennuis !"se lamenta t-elle dans sa tete.

(Agréable surprise que tu rp aussi bien **
PS : Mets ce code dans ta signa :

Code:

[center][img]https://img4.hostingpics.net/pics/782772Rosa2.jpg[/img][/center]


Ca remettra tout correctement )

Tu lèves la tête. L'odeur se rapproche. Elle est très près. Mais elle s'éloigne. Tu sens à son odeur qu'elle panique un peu. Elle doit être jeune. Il ou elle. Cet animal sent le poisson à plein nez. C'est un petit rivièreux. Le fait qu'il se soit éloigné de toi alors que tu ne faisais pas le moindre bruit indique que non seulement il a peur, mais qu'en plus il t'a en visuel.

Tu restes là, en suspend sur tes trois pattes, la quatrième en suspend dans l'air pour sentir les herbes et l'air remuer contre tes coussinets. Tandis que les trois pattes au sol sentent les vibrations. Tu te rends compte que l'animal se cache, il est tapis contre le sol non loin de toi, tu peux sentir contre ta peau les vibrations qu'elle crée contre le sol.  Elle trépigne. Elle a peur. Elle veut partir.

Tu jettes un coup d'œil (et pas jeter un œil, ça serait bizarre) derrière toi. Tu ne tournes pas la tête. Tu regardes là où personne ne veux jamais regarder : du coin de l'œil. Regarder du coin de l'œil permet de découvrir qu'on ne peut voir que de ce coin abandonné. De cet endroit si lointain pour l'anatomie visuelle qu'elle force la pupille à se coller à l'extrémité de l'œil, en une fente parfaite, elle se tend tellement qu'on peut apercevoir la sclérotique nous montrer la couleur blanche, le cristallin fait une mise au point immédiate et parfaite. (J'aime la biologie)

Tu y vois l'océan d'herbes folles de la plaine des territoires du clan du vent. Elles y sont torturées par le vent. Elles se plient et se tordent sans jamais se casser. Les chats des autres clans s'y sentent à nu. Vulnérables. Terrifiés par la grandeur du monde. Toi, tu t'y sens libre. Libre de penser, d'espérer, de rêver. Bien que le ciel te l'ai apparemment interdit. Tu tiens tête. Tu restes fort.

Tu reportes ton attention sur le petit animal. Tu t'approches lentement de la frontière. Tu t'assois sur la limite et enroule ta queue autour de tes pattes.
- N'ai pas aussi peur alors que tu es sur ton territoire cervelle de pudding.

Tu toises la boule de poile blanche. Tu vois sa petite tête se dresser vers toi. Elle lève la tête trop vite pour que tu puisses analyser son expression.

Tu restes de marbre. Ta remarque était sèche et accrue. Mais ton expression était neutre. Ta posture droite et noble sans être un défit à ce pauvre animal.

( Merci Moussy pour ton aide et ton compliment enfin si je dois le prendre comme cela ^^)

Elle restait cachée un moment et quand elle entendue le chat parler elle regarda vite fait puis elle se recacha. Elle ne voulais absolument pas avoir d'ennuie. Si une patrouille arrivait elle serait dans la bodrin ! Puis elle sortie du buisson en entiere. Quelques feuilles c'etait prise dans son pelage blanc/creme. Ses yeux fixait le felin pres de la frontiere. " il ne me fera surement rien"pensa t-elle immédiatement. Puis elle se souvint que le Clan de l'Ombre avait la réputation d'etre agressif. Elle voulait tellement que sa reste comme cela et que personnes ne viennent les embetées. Alors elle se donna sdu courage et miaula :
- Je ne suis pas une cervelle de pudding !riposta elle, si tu continue tu veras qui se transformera en pudding ! Sale mioche !
Elle le regarda un peu inquiete. "c'est sur que la j'ai pas gerer !"se dit elle. Je vais me faire tuer " Elle pensa a son chef et son mentor que si ils l'aprennait allait etre rouge de colere.

Tu ne bronches pas. Cette menace, venant d'une apprentie, n'avait absolument aucun sens. Tes oreilles remuèrent. Parfait. Elle voulait jouer. Elle allait jouer.

- Oh. C'est trop mignon. Et tu vas me faire quoi ? Me transformer en la même chaire à corbeau que vous mangez ?

Tu n'aimes pas insulter. Tu n'as aucun préjugé sur les clans. Celui de l'ombre mérite autant sa place au sein de la forêt que celui du vent. Ils veulent se montrer agressifs, montrer qu'ils sont forts. Mais comment les blâmer ? Les quatre clans le font. Et tous de manière souvent meurtrière..

Tu ne sais pas si un jour tu pourrais un jour tuer. Tu ne peux que penser aux personnes que le décédé laissera derrière lui. En plus du silence qu'il laissera au creux des rangs du clan. (HS : Il ne ait rien de la forêt sombre, jusqu'à son existence)

Alors qu'elle joue. Qu'elle essaye de te chercher, de te provoquer. Tes nerfs sont d'acier. Tu ne cèderas pas. Alors vas y morveuse. Joue avec les nerfs de cet animal au tempérament si calme. Mais attention à ne pas brûler tes pétales.. Jeune Rose que tu es. (On brise un mur là 8D c'est le narrateur qui parle à ton perso XD En vrai, si tu me réponds avec une phrase du style, ça ferait trop badass comme échange)


EDITE : Je croyais que ton perso était blanc/crème avec le museau brun ? Le chat sur ta signa est roux tigré XD

La chatte le fixait. Elle lisait a moitier dans ses pensée (c'est pas un peu flippant sa ?). Elle le regardait calmement. Celui ci n'avait pas vraiment reagit a ses paroles.
- Et toi, ne te brule pas avec la glace...(#Pasdidée !)
Elle le regardait toujours aussi detendue. Il n'avait pas l'air bien agressif après tout. Elle se rapprocha de son museau. Son air etait provocateur.
- Jeune Embrasement des Flocons,continua t-elle
"Beaucoup de felin qui me connaissait sous cet angle me surnommait la voyante mais lui, vas t-il etre impressionner ?" se demanda t-elle
(Y avait pas de chat qui ressemblait a Rosa alors le graphiste a mis sa ^^)

(On dit graphiste ^^
Elle a un pouvoir ?)

( chorry je modifie ^^ non c'est pas vraiment un pouvoir...)

(Alors explique moi s'il te plais, j'aimerais trop exprimer ce que ressent Floflo en voyant ça
Sachant qu'elle est pas censé connaître son nom et qu'il sait très bien cacher ses émotions ^^)

( okay, alors elle a une caracteristique particuliere qui est que, avec les yeux de ton personnage elle arrive a voir l'emotions qui si cache, et elle a une ouïe tres aiguiser et elle peut sentir tes battement de coeur enfin elle entend bien quoi meme beaucoup mieux que les autres...c'est difficile a expliquer...)

(Super ! Allez je rp !)
Son regard te déstabilise. Il est d'un bleu cristallin. (dis moi, car il n'y a pas leur couleur dans ta description physique) Un bleu qui semble sans fin, un bleu qui s'existe nul par ailleurs. Un bleu où on plonge comme pour ne jamais revenir. Tu détestes cette sensation. Tu as l'impression qu'on t'aspire. Qu'elle lit en toi. Non seulement c'est une ennemie, mais elle est une guerrière ennemie. Mais en plus elle s'en prend à toi personnellement.

C'est une bataille de regards. Les battements de ton cœur sont trop forts et trop rapides pour que tu puisses te concentrer. Tu te perds dans ce bleu d'azur. Il a des éclaires verts pomme. Tu hais cette situation. Ca ne va pas. Ca ne va pas du tout. Tu as l'impression de perdre la raison. Tu détestes montrer des émotions. Tu détestes qu'on les devine alors que tu veux les cacher.

Soudain. Une porte s'ouvre dans ton esprit. Une fourrure blanche. Les yeux de la novice deviennent vairons. Un violet. Un bleu.

- Stop. Retourne chez toi.

Elle ouvre la gueule. Tu ne veux pas en savoir plus. Tu veux que ça cesse.

- Dégage de mon chemin ! Tu t'es emporté. Ce n'est pas de la haine, encore moins de la peur qui brûlent ton iris couleur de miel. C'est du mépris. Un torrent déferlant d'un puissant mépris.

Mais...
Tu es plus fort que ça. Après avoir cracher ses mots, tu luttes pour contrôler les battements de ton cœur. Tu luttes pour reprendre le contrôle. Elle ne lira plus en toi. Tes émotions t'appartiennent, et elles doivent disparaître. Les émotions doivent toutes disparaître. Tu dois même t'interdire d'aimer. L'amour n'est un vile poison qui s'injecte dans tes veines et te fait souffrir jusqu'à l'agonie.

Elle le regardait. Il avait l'air imprésionner et maintenant enerver.
- Tu devrais te calmer et respirer un bon coup.
La chatte lui sourias et finie par dire :
- Tu es pour moi un livre ouvert comme tout les autres alors n'essaye pas qde cacher tes sentiments je l'ai retrouverais quoi qu'il arrive.
La femelle se tourna et fit se qu'elle aurait du faire depuis le debut, s'en aller. La queue toute haute elle partie vers un noisetier. Elle etait heureuse d'avoir enfin reussi a impressionner un guerrier. Surtout qu'il est un ennemi.

Cet animal a fait une erreur. Car s'il y a une personne à ne jamais provoquer, c'est bien toi, Embrasement des Flocons. Car eux. Ont des plumes voir une aile à y laisser. Toi. Tu n'as plus rien à perdre. A force de jouer avec le brasier qui brûle de froid, on finit arraché par la racine. (j'aime cette métaphores sur nos noms)

D'un pas décidé, tu traverses la frontière. D'un pas très calme. La queue très haute. Tu ne penses à rien. Absolument à rien. Tu sais très bien résister à ses situations là.

Tu plantes tes crocs tout doucement dans la fourrure du cou de la novice. Tu la soulève avec précautions. Elle commence à se débattre. Tant pi.

Tu peux entendre au loin une patrouille arriver. Tu ne réagis pas. Pas même lorsqu'une masse de muscles te foudroie sur place. Tu pousses un miaulement rauque en t'effondrant sur le sol.

- Ne laissez pas des chatons se promener comme ça vers les frontières.

Tu es calme. Serein. Tu saignes au poitrail et ton épaule est déboitée. Tant pi. Tu l'as cherché. Tu aimes chercher les foudres du destin. Provoquer l'instinct primitif des autres guerriers. Tant pi pour les dégâts collatéraux. Tu n'as déjà pas beaucoup d'honneur et tu cicatrises bien.

Presque par dénis, tu défis du regard ce guerrier. Tu ne bouges pas. Tu as une posture comme pour parler à un ami. Tu es si proche du guerrier ennemi que tu sens son halène. Tu défis ce chat. Le défit de te tuer. S'il en est capable. De toute façon, il ne le sera pas. Et s'il l'était. Tu t'enfuirais. Fixé pour de bon sur cette question qui te taraude : Est-ce que les chats sont ils autant des Monstres que les bipèdes ?

" Il la fait expres !" se dit elle. 'je vais me tuer par mon Clan !". La chatte grogzais.
- Lâche moi sale moisissure !cracha t-rlle.
Quand il la laissa tomber Nuage de Rose le foudroya du regard. Le regard de la femelle etait determiner a se venger. L'apprentie miaula au guerrier de la patrouille de le lui laisser meme si elle savait qu'elle n'allait pas le battre sa pourrait lui faire une evaluation finale. Le guerrier accepta mais lui dit que si cela tournait mal il viendrait l'aider. La novice accepta.

Tu peux lire dans les yeux de la chatta. Chaton ?! Comment ça chaton sale cervelle moisie ?! Elle ne te méprise pas. Elle te hait tout simplement. La haine assombrit la lueur bleue de son regard, il brûle d'un désir de vengeance pour cette attaque sur sa propre personne. Mais elle a le jeu d'une enfant. Le jeu d'une petite chatonne qui en a prit pour son grade et qui veut faire payer son assaillant par encore plus de souffrance.

Bête et stupide. Tu peux presque lire ses pensées sur son iris. Et ça exhale tes sens. Elle est en face de toi, en position d'attaque. Elle n'a pas beaucoup de défense. Mais pas mal pour une chatonne qui n'a pas l'air de dépasser les 10 lunes (j'ai vu, elle en a 12, il se fout juste de son museau). Toi, tu restes là, fière comme un paon, tu libères tout ton mépris, mais avec subtilité, avec intelligence. Elle a fait l'erreur de te provoquer. Maintenant il est trop tard.

- Attaque moi si tu l'oses. Je n'ai pas la moindre intention de me battre. Je vais juste rentrer tranquillement chez moi.

- Blessé. Ou mort dans un ballot de feuilles pour les guérisseurs tant on t'aura fait regretter d'avoir pénétré notre territoire. Feula le guerrier ennemi. Tu penses une simple réponse. Et tu peux le lire dans les yeux du mioche qui te fait face, juste devant la frontière. Non.

Tu fais un pas en avant, ta queue est redescendue sur tes pattes. Mais ton regard brûle toujours du même mépris. Il veut dire "Tu m'as cherché. Tu m'as trouvé. Ne vas pas pleurer si tu tue un chat parce que tu sais qu'il ne se défendra pas"

Nuage de Rose se calma. Elle fit un signe de queue au guerrier de laisser tomber. La chatte etait attentif et ses yeux resterent de la meme couleur. Bleu azur, bleu petillant et d'un bleu océan. Elle se disait quelque chose dans son esprit. " Une guerriere digne de ce nom ne devrais pas attaquer par plaisir ou par vengeance, cela doit etre juste". Elle avait ete blesser par les mots du venteux signifiant que c'etait un chaton. Elle avait grandie et cela ne devait pas laisser place a la betise. Elle se posa et enroula sa queue de ses pattes.
- Arreter, cela ne servirais a rien, juste à s'entretuer.
La femelle se tourna vers le guerrier de son Clan.
- Il est inutile de se battre alors que cette cervelle de souris ne nous as pas volé du gibier. Il n'a fait que ne pas regarder où il alait er a depasser la frontiere.
La novice soupira. Il ne va surement pas etre convacue.

(The end ?)

Oui ^^

J'archive~