Ce soir là, je ne voulais que dormir: je voulais avoir le plaisir de tuer ma sœur, pas la voir écrasée sous un monstre ! Bouillonnant de rage, je partis me coucher dans la tanière des guerriers. Je me mis en boule et essayais de dormir, mission impossible. Je sortis en douce du camp et réussis à m'endormir à quelques queues de renard du ruisseau. Je me retrouvais dans une sombre forêt. Comment la décrire ? Sombre, Ténébreuse, lugubre, effrayante, sans vie. Il n'y a que ce genre de mot que l'on peut utiliser pour décrire cet endroit. Je commençais a marcher sur un sentier; ruminant et ressassant ma journée ainsi que mes désirs les plus fous. Je sentais des regards sur moi et je sentais tout autant qu'en levant la tête, je ne verrais rien. Pensant à des plans que je pourrais utiliser pour pouvoir devenir lieutenant puis chef: c'était la seule chose que je voulais à présent. Les autres chats de mon entourages étaient faibles, idiots, qui refusaient le combat et préféraient la paix. J’arrivais alors dans une clairière dénudée. Pour le coup, une paire d'yeux m'obligea à lever la tête. Les yeux dans les yeux, incapable de tenir plus longtemps, je dis à ce chat caché dans l'ombre:
Qui que tu sois, sors d'ici !

J'attendais une réponse, quand une chatte argentée presque noire sortit des buissons et s'assit sur une souche à quelques longueurs de queues de renard de moi. Elle me dit alors:
Bonjour Ombre d'Argent. Je n'ai pas l'habitude de t'observé, mais je te connais très bien, et je ne doute pas que tu est un grand guerrier, tu à réussi à m'entendre alors que je suis très discrète, et tu n'a pas hésité une seule seconde à me tenir tête, sans savoir qui je suis. Mais, au moin, sais tu qui je suis ?
A vrai dire, je ne savais pas quoi répondre: je n'avais aucune idée de qui elle était et je ne me souvenais pas l'avoir déjà rencontrer. Et quand elle avait prononcé mon nom ? Comment le connaissait-elle ? Au bout de quelques instants de réfléxion, je m'avançais et m'assis devant la souche tout en restant sur mes gardes. Je lui répondit:
A vrai dire, je ne te connais pas. De plus, je ne suis venu ici que 3 fois et je n'avais rencontré personne jusqu'à maintenant. Tu es la première que je vois. Je ne sais pas où je suis, qui tu es ou qu'est ce que je fais ici, mais ce lieu, en tout sens me décrit et me représente et je me sens vraiment bien dans cette forêt.Ici, je suis plus chez moi que dans la forêt du clan du tonnerre.

Plumes des Esprits écouta le jeune guerrier
qui serais très intéressant pour son plan
machiavélique, puis elle lui dit
d'une voie aimable et pleine de gentillesse,
même si, depuis toute petite, la guerrière
n'a jamais ressentie quoi que se sois.

- J'ai quelle que chose à te proposée,
mais avant ça,
dit moi pourquoi voulais tu venir ici.
Je pourrais surement t'aidée...

Sa voie résonnait comme un écho
dans se monde qui régnait entre
le réel et le surnaturel.

Je m'assis et écouta la chatte, même si j'étais impatient. Ce qu'elle me dit me questionna mais je lui répondis sans hésitation même si c'était assez compliqué d'expliquer ma haine, je vais faire tout ce que je peux pour ne pas paraître enbarassé et me débrouiller du mieux que je le peux, comme je l'ai toujours fait. Je dis finalement/

Pour tout dire, ma sœur à toujours été plus aimé que moi. Elle recevais tout les compliments du monde et moi je me faisais comme éjecté. J'en ai eu tellement marre que j'avais envie de la tuer. Mais mon autre sœur m'a toujours empêcher de le faire, à chaque instant. Il y a 3 jours, elle s'est fait écrasé par un montre sur le Chemin du Tonnerre. A partir de cette nuit là, j'ai commencé à me retrouver ici..

Une fois que j'ai terminé mon récit elle me demanda:
- Si je t'aide à lui rendre visite en rêve, et de la tué, me promet tu que tu me rendra un grand service ?
Je me suis alors demandé: comment pourrais-je la revoir ? Et puis, comment pourrais-je tuer quelqu'un de déjà mort ? Et surtout de quel service me parle-t-elle ? Je pris quelques instants pour réfléchir, et je pense aussi au bonheur que je n'ai jamais eu, de tuer ma soeur. Je lui réponds finalement au bout de quelques minutes; sur un ton sûr:
Oui, je ferais tout ce que tu me demandes, quoi qu'il m'en coûte !
Même si c'est la pire chose qu'il soit pensais-je

Perdu dans mes pensées, j'entends à peine ce que me dit l'autre chat. Mais lorsque'elle me demande de la rejoindre, je m'arrête de penser, supris. Mais maintenant que j'y pense, c'etait la première personne qui me comprennait et qui avait confiance, foie en moi. Certe, je suis assez imprudent et je ne sais toujours pas qui elle est ni où je suis, pourtant je sens que accepter est une bonne idée. Certain désormais de ma réponse, je relève la tête d'un air de défi et repond:
Si tel est ton désir, je le ferais. Mais comment tuer un chat déjà mort ? C'est totallement impossible non ?

J'avais mal compris ton texte, heureusement que j'ai rattrapé mon coups X)