"S'en est trop ! me dis-je. J'en ai marre de vivre dans cette endroit puant rempli de rats et de déchets bipèdes."
Je me dirigeai d'un pas décidé vers la barrière faite de tiges brillantes et me glisseai sous la porte. Un sentiment étrange, que je n'avais jamais ressentit auparavant, m'hérissa la fourrure : la liberté !
Je m'éloigne au petit trot vers la lisière de la forêt. En prenant soin de regarder derrière moi au cas ou mon père apparaitrait, me criant de revenir.
Mais il n'en fut rien, je me glisse sous un buisson et goûte à la délicieuse odeur qui m'encerclait à présent, les senteurs de la forêt imprégnaient ma langue.
Soudain, j'entendis un bruissement à environ une longueur de queue de rat. L'image de mon père surgissant du buisson et m'attrapant par la peau du coup envahi mon esprit et je me mit à trembler de tous mes membres.

J'était censé chasser pour les anciens, mais n'étant pas bien accoutumer, a mon territoire je m'était un peut trop éloigné, quand j'aperçus non loin du charnier, la silhouette d'un chat blanc, a la fourrure pour le moins épaisse. J'approche doucement, rampant sous les buissons, et m'arrête a quelque longueur de queue de lui, et m'aperçoit alors, qu'il tremble me doutant qu'il est inoffensif, pour le moment, je sort des sous bois et lui demande le plus amicalement possible, son nom "salut je suis Nuage Epineux et toi comment t'appelles tu". Le voyant perdu je lui demande si il sait au moins ou il est

Seule.
Ca se résume à ça aujourd'hui. Depuis que mon compagnon a été tué. Je me réveilla difficilement car j'avais fait un cauchemar où je revivais la mort d'ecorce blanche. Je me levais et regarda le clan se réveiller tranquillement.  Je m'etirais et quitta la tanière des guerriers. Je me rappelais soudain que j'étais la nouvelle lieutenante.

Tout à coup,  je vis une silhouette venir en ma direction. Je la reconnu vite fait.  Il s'agissait d'étoile divine.  Je m'inclinais devant lui et il prit la parole:

-salutations épine de rose,  peut tu aller patrouiller avec nuage épineux vers le charnier?

Je lui répondit:

salutation étoile divine oui sans problème.  Je vais le prévenir.

Je marchais vers la tanière des apprentis nuage épineux etait déjà debout.  Je le vis à l'entrée,  je pressaiw un peu le pas.  Une fois arrivée à sa hauteur je dis:

-salutation nuage épineux,  prépare toi on va en patrouille au charnier,  on chassera en route.

Je m'assis et attendit sa réponse. Je me passais une patte sur les oreilles. Nous partîmes donc et soudain on vis un chat. Nuage épineux se présenta et posa plusieurs questions. Je lui dit:
- et moi je suis épine de rose, nous appartenons au clan de l'ombre.

Je tremblais comme une feuille devant ces puissants félins.
"Je m'appelle Congère" miaulais-je tout bas.
La grande chatte me regarda droit dans les yeux, elle me terrifiait. Ses pattes rousses se camouflaient un peu sur l'humus de cette saison des feuilles mortes.
Je baissai la tête, apeuré. Qu'allaient me faire ces chats ?
"Ne me renvoyez pas là-bas ! m'affolais-je. Je ne veux pas retourner vivre avec lui !"

"Je ne veux pas retourner vivre avec lui". J'agitait les oreilles, étonnés et curieux, que voulait il dire, j'hésitait je n'allais surement pas l'attaquer, épine de rose elle semblait calme, et sur d'elle, elle ne le considérait surement pas comme une menace, je me décida alors a lui demander, si ont pouvais s'en occuper "Épine de rose ont peut le ramener au camp, il doit être coriace si il a survécu tout ce temps seul..." l'implorai je.

Changement de chef,plus de frère. Mon apprentis devenu guerrière.Et Nuage de Geai ne faisant qu'a sa têt le monde ne pouvait éspèrer mieux.Je ne pouvais m'empêcher de penser à Epine de Rose ces chatons ne connaîtrons jamais leurs pères comme les miens.Le nouveau lieutenant m'avait charger d'allez chercher Epine de Rose et Nuage Epineux au charnier je ne sais pas pourquoi Etoile Divine n'aime pas qu'on lui pose ce genre de question.Je marchais depuis un moment au passage j'avais pris un moineau.Je tient mes talents de chasseuse de ma mère et j'ai la férociter de mon père dise les anciens.Quand je les aperçu enfin je vis qu'il n'état pas seul.Un chaton se trouvait avec eux.Il avais l'air innofensif nul raison de s'inquiéter.
-Nous ne te voulons aucun mal.Je suis Poil de Praline nous sommes des guerriers du clan de l'Ombre.
Le chaton étais complétement désorienter.

"Je vous en supplie ! Ne me remmenez pas avec mon père ! Il m'a enlevé à ma mère il y a un quart de lune.... Il... Il... Il m'a forcé à vivre dans ce charnier pendant tant de jours... Je n'en peux plus !"
Je fondis alors en sanglot. Les trois chats assis devant moi me regardèrent avec stupéfaction.

"Je vous en supplie ! Ne me remmenez pas avec mon père ! Il m'a enlevé à ma mère il y a un quart de lune.... Il... Il... Il m'a forcé à vivre dans ce charnier pendant tant de jours... Je n'en peux plus !"

Comme une mère qui protègent son chaton par instint maternelle je lecha le chaton pour le réconforter.
-Tout ira bien nous ne te ramènerons pas à ton père nous te protégerons Congère c'est ça?Je me colla contre lui.
Ce n'étais qu'un pauvre chaton éffrayer,Je l'éxamine discrètement,le pauvre était dans un sale état,il a une morsure de rat et la plaie est en train de s'infecter.Il faudrait le ramener au camp pour le soigner.Ce chat c'est un petit courageux a en juger son age il devait avoir environ quatre ou cinq lunes.
-Dis moi à tu une idée de l'endroit ou est ta mère ou vivait tu avant?
Peut-être que après nous la ramènerons auprès de sa mère.Je leva la tête vers Epine de Rose et le novice.
-Ce jeune chat est sous la protection du clan de l'Ombre.Nous sommes responsable de lui.Il a besoin de soin.Nous devons le déplacer avec précaution.

"Ce jeune chat est sous la protection du clan de l'ombre" a ses paroles je me détendit, ils comptaient le garder, et non l'envoyer en exil, ou il y serait assurémment mort. Mais ces paroles me revinrent en tête, enlevé ? par son propre père ? de plus, il avait  dit qu'ils étaient rester dans le charnier tout ce temps, la vie avait du etre épouvantable. Je me redressait jetant un coup d'œil, a l'entrée du charnier non loin, et remarqua une ombre, discrète tapis sous un tas de déchet, elle se déplaçait furtivement jusque a nous je me tendis, légèrement nerveux et lanca a la cantonade "j'ai l'impression qu'on est observer je pense qu'il ne faut pas trainer".

"j'ai l'impression qu'on est observer je pense qu'il ne faut pas trainer".
Je fus surprise quelle observateur cependant je lui lança un regard pour lui rappeler ou est sa place.
-Nous somme sur notre territoire si son père vient le réclamer il aura affaires a nous.Nous respectons notre code qui est de protéger un chaton qu'importe ces origines.Même si je suis curieuse de savoir pourquoi un chat enlevrait son fils et s'en occuperait ainsi.Cet étrange.

"Ce jeune chat est sous la protection du clan de l'Ombre"
Oui ! Emmenez-moi avec vous !
La nouvelle arrivante se mit à me lécher, je me sentais en sécurité. Soudain, je remarquai que le plus jeune d'entre eux regardait vers le charnier comme s'il avait aperçu quelque chose, je me crispai.
"J'ai l'impression qu'on est observé" informa-t-il.
Je tourna la tête. Entre les branches, je distinguai une forme grise se glisser dans notre direction. Elle m'était beaucoup trop familière.
"Non, chuchotai-je. C'est mon père, il ne faut pas qu'il me voix."
Je me précipite dans les ronces les plus proches et me cramponne de toute mes force à la terre meuble. A l'extérieur, les trois chats regardaient approcher le matou, qui était à présent à découvert.

Le matou du charnier, avançait doucement jusque a nous, avec un air menaçant, c'était le plus gros chat que j'avais jamais vue, massif, grand, il atteignait je pense facilement la taille d'un petit roquet. Ses yeux étaient petit noir, et vicieux tel un rongeur, a croire que vivre tout ce temps ici avait détint, sur lui il grogna "rendez moi mon fils" d'une voix grave les mots étaient légèrement déformer, je lui fit face, griffe sortit ,"hé bien en voila un rat impressionnant" miaulai je amusé espérant détendre l'atmosphère déjà bien lourde

(Praly c'est moi la lieutenante)

Je le laissa parler et dis:

excuse moi si je t'ai fais peur congère je ne voulais pas.

Je ne lui laissa pas le temps de répondre et j'enchenais:

tu te demande comment je le sais? Facile ton odeur de peur se sent à trois queues de renard.

Je levais la tête et sentis l'odeur d'un matou qui approchait. Ce devait etre le père de congère. Je me plaçait devant lui d'un geste protecteur. Je lançais au matou d'un ton sec :

pourquoi l'as tu obligé à venir vivre avec toi?

J'attendais sa réponse en position de défense toujours devant le chaton.

Le chat massif ne semblait pas en position de négocier, il grondait, les crocs a découvert ,cédant au pulsion du combat qui me faisait frissonner, je me jetait sur le mastodonte, lui arrachant des touffes de poils, loin de d'être intimider le grand chat me plaqua au sol, je roula sur le coté en espérant me dégager quand je vis avec horreur, qu'il avait attraper ma patte avant droite entre ses crocs. Il mordit de toutes ses forces je poussa, un feulement de douleur et de rage, et me débattit avec la force du désespoir et avec l'aide de mes camardes je put enfin me dégager, je recula légèrement rangeant ma patte blessée sous moi, évaluant la situation j'avais une patte sanguinolente et un ennemie enragé en face. Mais heureusement Epine de Rose semblait déjà prête a prendre la relève l'lorsqu'il chargea une seconde fois

Je me prépara à le défendre. Je feulais tres fortement. Je dis:

Pourquoi ne pas demander l'avis de ton fils.

Puis j'attaquais et lui sauta dessus. Il essayait de me déloger et je le mordis et le griffa. Je pris quelques secondes de répit et repris ma danse macabre avec lui. Soudain, j'appercus une tache blanche dans son pelage. J'eu une illumination. J'arrêtais de me battre. C'était mon cousin. Il le vit aussi mais n'était pas sûr. Il dit:

c'est... C'est toi épine de rose?

Je dis:

oui roc c'est moi.

Je continuais d'une vois adoucie:

pourquoi obliger ton fils à venir vivre avec toi au charnier? Tu sais que c'est dangereux.

"Il sera plus en sécurité avec moi que seul avec sa mère dans la nature, répondit mon père.
Je rassemblai alors tout mon courage et sorti du buisson pour me poster aux côtés de Nuage Epineux.
"Reviens avec moi, m'ordonna mon père en me regardant d'un regard lourd de reproches.
-Je ne veux pas revenir vivre au charnier avec toi ! lui répondis-je avec assurance."
Le matou semblait se crisper, près à bondir pour me prendre de force une nouvelle fois.

Je me rassis, sidérer son cousin ?! et donc, cela faisait de congère son neveu, tout ce la me donnait mal a la tète, j'approchais du jeune chat blanc qui faisait face a son père, et miaula, "ton fils a l'Age de décider ce qu'il veut pour son avenir de plus le charnier n'est pas un endroit sur il n'a pas a être forcé d'y vivre" voyant qu'il hésitaitn j'ajoutait menaçant "de plus le charnier est sur le territoire du clan de l'ombre, alors tu n'es pas en position de faire quoi que se soit, puis me souvenant de ses liens de parenté avec notre lieutenante ,je me radoucit "vient plutôt dans le camp avec nous récupérer ta vie d'avant" .Je jetait un regard entendu avec mes camarades nous t'accepterons", le félin grogna puis après un dernier regard indécis vers Epine de Rose, il accepta je retourna vers congère, a l'orée de la clairière prenant soin de ménager ma patte blessée, attendant les ordres du lieutenant qui s'entretenait avec le matou belliqueux.

(ok désoler je l'ignorais du coup épine tu peux modifier ton profil?)
Je vis alors un gros chat arriver il était gros j'avais vu pire mais il fallait s'en méfier. Epine de Rose engagea la conversation et demanda pourquoi il avait enlever Congère.Le matou répondit que c'étais pour le protéger mais le chat attaqua Nuage d'Epine répliqua aussitôt.Il a le combat dans le sang.Je me mit près du buisson ou c'était caché le chaton. Bizarement Epine de Rose qui étais sur la matou recula brusquement je compris aussitôt les deux chats se connaissaient.
"C'est... C'est toi épine de rose?"
"oui roc c'est moi."
La lieutenante reposa alors sa question de départ.

"Il sera plus en sécurité avec moi que seul avec sa mère dans la nature"
Une réponse absurde on ne retire pas un chaton à sa mère car c'est auprès d'une mère qu'un chaton est le plus en sécurité de plus le charnier est le pire endroit possible pour élever un chaton.Roc ordonna a son fils devenir a cet instant le chaton sorti en criant qu'il ne voulait pas revenir.
"ton fils a l'Age de décider ce qu'il veut pour son avenir de plus le charnier n'est pas un endroit sur il n'a pas a être forcé d'y vivre.Il ajouta en menaçant de plus le charnier est sur le territoire du clan de l'ombre, alors tu n'es pas en position de faire quoi que se soit"
Avec un peu de retenu il deviendrait un exellant guerrier.

"Vient plutôt dans le camp avec nous récupérer ta vie d'avant"

Quoi!Mais ca va pas!Je fis signe à Epine de Rose qui alla parler a ce Roc.Je me dirigea vers lui le novice qui boitait.

-Je sais que tu a un grand coeur mais ce n'est pas a toi de faire ce genre de proposition.Nous pouvons accepter n'importe qui dans ce clan et si ce chat avait été un jour des notre je le serais.Crois moi ce chat n'a pas sa place dans le clan fis en désignant Roc.

Je me devais de lui rappeler sa place d'apprentis.Son légère arrogance m'énervais.Ce qui m'inquiétais c'est que Congère vive avec son père qu'il craint on lui avait promis de le protéger.Je soupira et alla chercher de la toile d'araignée pour l'appliquer sur la blessure de l'apprentis.Puis j'entrepris de lécher Congère.

"Mais qu'est ce qu'on va faire de lui ?" C'est ce que je me disait quand je regardais roc, il semblait fort, même très fort, pensai je avec un coup d'oeil a ma patte avant, mais apparemment Poil de praline, et elle avait tout a fait raison, ne ferait pas confiance a quelqu'un capable d'enlever un chat, "si ce chat avait été un jour des notres je le saurais" attendez quoi ?! Il n'a jamais été du clan ha mince... je me rend compte alors que ma proposition ne tient pas, mais si c'est un inconnu, que fait t'il sur le territoire et comment Est ce possible, qu'il est un lien de parenté avec épines de rose, je m'approche de la guerrière qui s'occupait de congère "alors comment il va" demandai je, en regardant le jeune chat qui était maigre a faire peur

"Alors comment il va"
Je les réchauffais du mieux que je le pouvait.
-Il a besoin de la chaleur d'une mère.
Et aussi parce que j'ai aimé faire la même chose pour mes enfants.Je ne voudrait jamais que mes petits soive dans le même états que lui.Par contre il devrait voir un guérisseur on sait jamais.
-Nous somme des guerrier du clan de l'ombre pas du tonnerre n'oublie pas.

C'étais eux qui prenait n'importe qui dans leur clan sans réfléchir.Il n'ont pas grandis dans un clan comment être sur qu'il sont fiable.

"Je ne veux pas retourner vivre au charnier ! " protestais-je

Je dis: roc, ton fils est en âge de savoir ce qu'il veut. Nous l'emmenerons au clan. Il a besoin de se réchauffer. Et moi par la même occasion j'irai voir le guérisseur car tu m'as sérieusement entaillee à l'épaule.

Il me repondis des mots qui me marquer ont à jamais:

si tu emmène mon fils, je ne te reconnaitrai plus comme ma cousine.

Je le regardai d'un oeil froid et noir. Je dis aux autres:

je pense que nous devrions rentrer nous n'avons plus rien à faire ici.

Sans que je le veuille une larme coula puis deux puis trois puis tout un torrent. Je marchais vers nuage épineux en direction du clan.

Nous attendions patiemment a l'orée de la clairière, non loin des deux guerriers qui s'entretenaient. Quand soudain, épine de rose murmura quelque chose à l'oreille de son "cousin", j'était trop loin pour l'entendre, mais roc éleva la voix, des bribes de mots me parvinrent. "Si tu... ne te reconnaitrait plus ..." apparemment, la discussion ne se passait pas comme prévu, Epine de rose se retourna soudain et accourue jusqu'à nous, elle l'avait les larmes au yeux, et semblait souffrir, mais n'en laisserait rien paraître. Elle miaula

"je pense que nous devrions rentrer nous n'avons plus rien à faire ici."
notre petite troupe se mit en route, je fermais la marche en boitillant, j'accélérait tant bien que mal la cadence pour ne pas me faire distancer, arrivé au niveau de congère, je miaula d'un ton amicale "t'a pas a t'en faire ,je suis sur que tout le monde va te trouver sympa tu vas t'y habitué" je disait ça pour le rassurer, mais je savais bien que ça ne serait pas aussi facile, la mine attristé de notre lieutenante, et l'air grave de poil de praline me le confirmait, mais bon après tout c'est un guerrier de plus dans nos rangs, et le jeune chat semblait soulagée d'échapper au charnier. Sa démarche se fit plus assurée, une fois que le camp fut en vue.