Elle est douce comme un pétale de  lys.
Elle est sage comme ses ancêtres.
Elle est légère comme la plume de la colombe paisible.
Elle est généreuse comme l'amour.
C'est une jeune femme attentionnée.

Elle est pure comme le lac inconnu.
Elle est fidèle comme de simple jumeau.
Elle est suave comme la mélodie de la lyre d'Orphée.
Elle est compatissante comme la sincérité.
C'est une jeune femme compréhensive.

Elle est calme comme le silence de la forêt.
Elle est brave comme l'espoir.
Elle est tendre comme son instinct.
Elle est douce comme un pétale de lys.
On l'appelle Dame Douceur.

Sans commentaire...(ca veut dire que J'AIME PAS(C'est une blague, on est d'accord!!))

J'aime bien.

Salut !

J'ai beau mettre environ 1 message tous les 2 ans, ça m'empêche pas de vous faire part de mes MAGNIFIQUES (comme moi éwé) récits et romans !

Voici donc le premier chapitre de mon mini roman qui parle de... (Ben j'vous dit pas, bande de galopins !)






Une dernière fois

Chapitre 1

Croyez-vous que la sixième exctinction de masse est proche, ou croyez-vous au contraire que nous saurons nous rendre compte que nous surconsommons ce que la terre peut nous offrir ? Êtes-vous réaliste, ou rêveur ?
La fin de la vie sur terre est-elle proche, ou au contraire avons-vous de beaux jours devant nous ?

Toutes choses a un commencement, et le début de notre histoire se passe dans un grand centre de recherche médical à Londres. La ou la nuit était à son heure la plus sombre, toutes les fenêtres de ce centre de recherches renommé étaient éteintes, sauf une. Dans une large pièce joliment décorée et éclairée, une trentaine d'hommes assis autour d'une très longue table mangeaient, buvaient et parlaient joyeusement. L'un deux se leva et tapota son verre à vin avec sa fourchette.
"Mes collègues, mes associés, mes amis ! J'aimerais porter un toste à des génies, à de ces personne qui sont principalement la cause de la renommée de notre centre de recherche médical, et c'est d'ailleurs grâce à eux que nous sommes assis à cette table ! Je vous demande de féliciter Thomas Scrifild et Maximilien Orild !"
Les deux hommes se levèrent et les autres les applaudirent. Ils se placèrent de part-et-d'autre de cette personne qui leur avait porté un toste. Ils prirent la parole à leur tour
"Je ne sais pas trop quoi dire ! Je... On est fière de ce que nous avons fait, mais sans vous, on aurait rien réussit du tout ! Les gars, le plus important c'est l'entraide, et qu'on a enfin réussit !"
Celui qui avait parlé était Maximilien Orild. Les autres les applaudirent et les deux revinrent à leur place.
"Si modeste ces deux la !" Lança une femme dans la foule
Tout le monde se mit à rire. La soirée continua ainsi dans la bonne humeur, jusqu'à deux heures du matin.

Maximilien se réveilla, une pale lumière filtrée par des ridaux éclairait légèrement son appartement. Il entendit bouger à sa gauche, et vit que sa fiancée était réveillée elle aussi. C'était une jolie et jeune femme. Elle lui sourit et lui dit d'une voix douce:
"Bravo, champion.
-Tu aurais pu venir à la soirée, il manquait ma fiancée adorée à côté de moi.
-Qui aurait gardé la petite ?
-On aurait pris une nounou juste pour cette fois !
-Ca me concerne pas. Je suis juste heureuse de savoir que mon fiancé a fait un miracle !"
Il se retourna et s'asseya sur le bord du lit
"Faut que je me prépare, je commence tôt aujourd'hui !
-Tu commences toujours tôt !" dit-elle en riant
Il se retourna et la regarda dans les yeux
"Ecoute... Je vais essayer d'être plus présent, avec toi et notre fille, d'accord ?"
Elle lui sourit et lui dit:
"Oui oui, pas de problème mon champion !"

Lorsqu'il arriva devant le bâtiment de son travail, plusieurs personnes l'applaudirent et l'aclamèrent, Maximilien crut même entendre un "T'es le meilleur Maxou !". Il arriva dans le hall d'entrée, et rebelotte, des gens lui serraientt la main et le félicitaient. Il était un peut gêné, mais aussi heureux de toute cette attention que les gens portaient sur lui. Il s'arrêta devant une double porte au fond d'un couloir, et l'ouvrit. Plusieurs personnes en blouse blanche se retournèrent en l'entendant arriver. De large sourire se dessinait sur leurs visages.
"Eh, Maxou, devine quoi ? dit l'un en le tapant à l'épaule
-Vas-y, raconte ! "
Il lui donna un journal posé sur une table et lui montra du doigt un article intitulé "La fin du cancer ?". Maximilien lit l'article, puis regarda celui qui lui avait donné
"Tu vois Maxou, toi et Thomas vous êtes des stars !
-A ce propos, tu l'as vu Thomas ?
-Oui, il est parti sur le toit.
-Pourquoi il aurait fait ça ?
-il a dit qu'il voulait prendre l'air."
Il prit l'éscalier pour aller sur le toit du grand bâtiment, il arriva devant la porte en fer et l'ouvrit. Il vit Thomas, de dos entrain de fumer une cigarette. Il s'approcha de lui, et Thomas se retourna en l'entendant arriver. Il lui fit un large sourire et dit:
"Mec, toi et moi, on est des stars sèrieux !
-T'es pas en train de prendre la grosse tête toi ?"
Il éclata de rire, écrasa sa cigarette sur le sol avec son pied, et lui posa une main sur l'épaule
"Faut qu'on distribue le vaccin partout dans le monde !
-Et les cobayes volontaires ?
-En vie, comme prévu, et guéris de leur cancer ! On va laisser le monde nour remercier et se la couler douce pour le reste de notre vie !
-Comme tu dis... Bon, on tu viens ? On a une journée de boulot devant nous !"
Maximilien se retourna et rentra dans l'immeuble, Thomas sur les talons.
La journée se passa comme prévu pour les deux génies, les cobayes pouvaient rentrer chez eux, et eux aussi.
"Tu vas au bar ? On va fêter ça avec les autres ! demanda Thomas à Maximilien
-On l'a déjà fêté hier !
-C'est jamais trop Maxou !
-Nan désolé, faut que je passe prendre ma fille, à la sortie de l'école, et je me passe une petite soirée avec ma fiancée !
-Pas de prob, à demain !"

Maximilien attendait dans sa voiture et regardait attentivement sa fille sortir de son école maternelle. En la voyant, il ouvrit la porte et lui sourit, mais quand elle le regarda, elle ne rendit pas ce sourire, et dit d'un ton agacé:
"Papa, les garçons de ma classe ils me traitent de méchante sorcière !"
Maximilien ouvrit de grands yeux écarquillés
"Qui a dit ça ?
-Audrent et Alexandre...
-Encore eux ? Mais je vais finir par me les mater ces deux la ! Pourquoi ils ont dit ça ?
-Ils se sont moqués de moi parce que je suis rousse, et ils m'ont dit que c'était à cause de moi parce que j'étais une sorcière, et les autres les ont cru. Depuis tout le monde se moque de moi !"
Maximilien serra les poings et prit sa fille dans ses bras
"Ne les écoute pas, ce sont des idiots !
-Oui papa..."
Il rentra dans la voiture, sa fille s'asseya sur le fauteuil arrière et il appuya sur la pédale.

Pendant le trajet, la voiture de Maximilien passa devant un parc d'attraction. Leur immeuble ne s'en situait pas loin.
"Papa, on peut y aller cette fois ci ?
-Non, pas cette fois ci, je t'ai dit pendant les vacances. Ta mère et moi sommes très occupés pas nos résponsabilités !
-Mais papa !"
Il se retourna vers le siège arrière et lui fit les gros yeux, elle évita son regard et observa le paysage à travers la fenêtre. Il reposa ses yeux sur la route et mit de la radio.

Lorsqu'il rentra dans son appartement, sa fiancée était déjà assise dans le salon en train de boire une tasse de café devant un télé-film. Quand elle vit Maximilien, elle se leva et alla s'embrasser.
"Salut, mon champion !"
Il lui sourit
"Salut, ma chère journaliste favorite !"
Elle éclata de rire
"Alors, il t'a plu mon article ? J'ai du faire les yeux doux à mon patron pour qu'il accepte que ce soit moi qui l'écrive !
-Ah lala, ma chère Emilie, tu vas devenir la plus grande journaliste grâce à moi !"
Ils éclatèrent de rire, lorsque leurs fille arriva et sauta dans tous les sens
"Papa est connu ! Papa est connu !"

Le reste de la soirée se passa à merveille. Après avoir dîné, Emilie et Maximilein regardèrent la télévision tandis que leur fille dormait déjà. Puis, ils se couchèrent.
"Bone nuit, mon champion.
-Bonne nuit, ma journaliste."
Maximilein ferma les yeux, serein. Sa vie était devenu un paradis, et il sentait qu'elle allait rester ainsi...





Le début est très "bisounours", mais ça va vite changer >:D

Merci Perle ! ^^

C'est pas mal du tout Flo' ! ^^

(A part qu'il aurait du la faire dans la partie HISTOIRE)

J'ai adoré le passage ou la fille se fait victimisé. Mais en meme temps, je vois pas pourquoi le père est énèrvé, les roux et rousses n'ont pas d'ames donc...

OUaaah, Flo, à la fin tu peux faire en sorte que la rousse se rebelle contre les gars de sa classe :)
Histoire qu'elle réussisse se que j'ai pas fait X)

Toi c'est pareil qu'elle, tu es une victime.
Et une rousse victime n'y arrive JAMAIS

D'où tu sors ces préjugés toi ?

Rien, Rubis je le connait en vrai...il est roux...

je prépare 2 poèmes , un sur le rêve et un sur la mort

Ok Graine c'était donc une petite blagounette ^^

Il me tarde les lire Ajonc ! Les thêmes sont beaux en tout cas ^^

Basic mais ca marche toujours.

Ajonc t'es un copiteur X)
Bon tant pis, demain je donne le poème sur le Phoenix que j'ai fait en Français parce que je m'ennuyais ^^

^^

Et après il veut avoir des bonnes notes le petit...

Le Silence dans le Puit

Il n'y a aucun bruit
Je n'entends rien
Je suis dans un puit
Je suis serain

L'eau me rafraichit
Je suis si bien
Dans ce petit puit
Sans aucun lien

Sous beau temps ou pluit
Meme un chien
Qu'il soit blanc ou gris
N'aboie pas au loin


Pourquoi, tant de difficulté a ne pas avoir de bruit? Je pense a cause de la technologie d'aujourd'hui.




Graine d'Arbre qui se demande ce qu'il peut mettre a la fin....

Mais j'ai de bonnes notes :)
avec des dizaines de notes déjà, j'ai 19 de moyenne générale je pense :D

Je ne suis pas fan...

Je le trouve trop court et pas fluide, en particulier le moment du chien qui ne s'emboîte pas vraiment avec le reste.

Moi nan plus :D

D'ou toi c'est fluide? Tu passe de trois syllabes a 30000 juste entre un vers et l'autre.
Comme tu le dis, j'exprime juste mon avis.

(C'EESSSSTTTT NUUUULLLL)

Logique si c'est en vers libre mais là on ne parlait pas du mien mais du tien...

...
Bha on est d'accord que moi aussi c'est un vers libre non?
Nan, je veux dire que ca passe trop rapidement et ca casse le rythme. Mais après, tu es moche donc...

Tant pis pour toi, si tu ne veux pas de nos critiques qui pourraient te faire avancer.