Monotonie:

Une vie monotone
En rentrant de l'école
Toutes sortes d'activités
Mais aussi leçons à copier

Un peu de lecture
Maupassant, la Parure
Un prélacement prolongé
Jusqu'à la fin de journée

Puis se lève le matin
Fatigué, on a faim
Encore une fois on retourne à l'école
Pour une vie monotone




Graine d'Arbre qui est nostalgique (ou pas)

Edit: C'est, Rose, ça fait mieux a la fin Pour...

Je l'ai lu aussi La Parrure Elle est trop bien cette nouvelle à chute ! Je pense que si tu le modifies un peu, il serait genial ! Il a un bon fond ^^

Bof. J'aime pas trop.

(Pardon, mais si tu n'aime pas trop, pourrais-tu argumenter, parce que sion ca sert a rien...)

Désolé, je suis fatiguée alors j'ai un peu la flemme, mais voilà:

Déjà, les mots ne sont pas très recherchés. Il n'y a pas vraiment de "rythme", peut être que si les vers étaient plus longs ce serait plus joli. Aussi, des fois du enlève les déterminants: "Mais aussi leçons à copier"; "Jusqu'à la fin de journée". Certes, tu peux prendre des libertés poétiques, mais justement, quand ça fait poétique. Là, ça fait bizarre. Tu aurais pu mettre: "Mais aussi des leçons à copier", "Jusqu'à la fin de journée", ou "Jusqu'en fin de journée". Je n'ai pas trouvé de faute, même si j'ai regardé rapidement, alors je te félicité xD Pour finir, j'aurai préféré pour le dernier vers: "Pour une vie monotone", mais bon, ça c'est juste une préférence.

C'est en quelque sorte se que je voulais dire par modifier...

Arbre, j'ai pas lu :D
Les "commentaires" disent tous ;)

Nous vivons dans deux mondes différents.
Nous sommes différentes.
La frontière invisible et fatale nous sépare.
Pour ma famille,
Tu serais le fruit de ma naïveté et de mon imagination.
Pour moi,
Tu es mon amie.
Suis - je folle ?
Suis - je à droite ou à gauche ?
Peu importe si je t'aime.
Mes sens, mon instinct, mon coeur et ma raison
Repoussent les limites de mon amour et de ma détermination.
J'y arriverai !
Nous arriverons !
Je sais pas mais je te comprends.
Pourquoi ?
Seul le mystère le sait,
Son voile noir pourtant en dentelle est trop lourd.
Le temps m'aidera à le soulever.
Nous devons être patientes.
Nous devons nous faire confiances.
L'espoir luit dans mes prunelles incompréhensibles.
Tu les comprendrais surement.
Tu es la seule personne qui sait me réchauffer,
Que le temps soit externe ou interne.

Wow! Magnifique Brownie!

Merci ^^ C'est sympa ^^ On peut prendre un de mes poèmes pour le journal si tu veux ? ^^

Oui bien sur! Je propose le dernier, tu es d'accord?

Bien sûr ^^

Feuille Brune j'aime bien (mais tu me connais, je préfère avec des rimes^^)
Pour le récit aussi.

Rose d'Hiver, je comprends. Je ferais attention. Mais je ne te promets rien, parce que je préfère sans les déterminants parfois, ça rend plus poétique. Enfin bref, les vers bha...je les fait un peu à l'arache ce poème, en 10min en rentrant de l'école. J'était fatigué. D'ailleus c'est ça qui m'a fait pensé. Bon voila je verrais.

Très touchant Brownie!
J'essaierai de retrouver un poème histoire de vous montrer ce que je fais ^^

Merci et je sais Graine ^^

Rose d'Hiver a écrit:Très touchant Brownie!

On ne peut rêver mieux ^^
Avec plaisir Hivou ^^

Les rêves sont mes seules trêves.
Ils soignent nos blessures
De leur éternel imagination.
Ils sont doux comme le fantasme et
Agréable comme le repos.
J'en profite sans penser,
Sans réfléchir,
Juste en oubliant,
Juste en me laissant bercer par des louanges et
Un nuage blanc qui réconforte mon corps meurtri.

Mes cauchemars ne sont pas nocturne.

Mon dieu Brownie *q* C'est magnifique!
Je suis un pitit kk à côté

L'hiver est blanc.

L'hiver est blanc.
Si blanc!
Tellement blanc!
Trop blanc!
Car ce sont cette blancheur immaculée,
Cette source glacée et
Ces flocons par milliers,
Qui nous gèlent tout entier.
La neige est maîtresse des champs.
Le froid est maître de l'air.
Et notre souffle effréné ou lent
Continuera son chemin vers...


(Originalité de ouf. Avec une allitération au début ou un truc du genre)

Mais non Hivou ^^ Ne te sous - estime pas ^^ C'est pas une allitération, c'est une anaphore en " blanc " ^^ J'aime bien les images que tu décris ^^ C'est très beau ^^ Juste, ( v 5-6 ) " Car ce sont cette blancheur immaculée,
Cette source glacée et " Tu devrais le mettre au pluriel ( comme ton vers précédents d'ailleurs ^^ ) Car ce sont ces blancheurs immaculées,
Ces sources glacées et "


Voilà ^^ Conclusion : I LOVE ♥

Oky, merci mon Brownie ♥

Sinon, quelqu'un connait Kuroko's Basket? (Ou Kuroko no Basuke)
J'écris une fanfic sympas dessus avec une amie ^^ Remarque que ça peut ce lire sans le connaître... Ça vous dit que j'envoie le début?

Pour le poème, j'aime bien l'image et tout...
Pour le fanfiction avec plaise tu peux le mettre.

Ouais !!!!!!!!!!!!!!

Yachiru Sekai, Académie Too. 

  
  La jeune fille aux cheveux noirs corbeau et aux yeux bleus pâles se prélassait non pas au soleil mais sur les gradins du gymnase de Too. Arrivée depuis peu, sa seule rencontre un tant soit peu agréable avait été avec Momoi Satsuki. Il fallait avoir du cran pour s'adresser à Yachiru Sekai, cette nouvelle à l'allure mystérieuse et pas franchement très avenante. Toujours est-il que dans ce fameux gymnase, des joueurs s'entraînaient. Et pas n'importe quels joueurs : des joueurs d'un club de Too. Et pas n'importe quel club, ... Enfin bref, c’était le club de basket. Personne n’avait fait attention à sa présence lors de leur arrivée : elle était comme un fantôme. 

  Mais quand le match débuta, chacun fut "obligé " de jeter un coup d'oeil à "l’intruse" : en effet, elle avait commencé à siroter plus que bruyamment son chocolat chaud… Non, en fait c’était même plus que bruyant. On aurait même pu penser qu’elle le faisait… Mais on aurait été, bien sûr, très mauvaise langue…
  
  « J'étais là avant eux quand même... », se dit-elle en les voyant froncer les sourcils.
  
  Visiblement déconcentrés, les erreurs s'enchaînaient et se répétaient. Cela finit par agacer leur entraîneur qui lança un regard noir à Yachiru, synonyme de "fiche le camp et laisse les jouer". Malheureusement pour lui, la jeune fille n'y fit guère attention et continua son observation tranquillement. Le fait de les voir s'agacer lui plaisait beaucoup : oui, Yachiru pouvait être une "vilaine fille" quand elle le voulait, mais c’était plus fort qu’elle…

  La brune sentit une personne s'asseoir à côté d'elle. Momoi. Son cou pivota lentement vers la nouvelle venue. Elle fixa alors son regard éternellement blasé sur la fille aux cheveux roses, qui n'y prêta pas attention.

  « Alors, comment ça se passe Sekai-san ? Chuchota Satsuki.
  — Très bien, merci Momoi-san, lui affirma Yachiru. »

  Ainsi se finit leur court échange. Captivée par un certain joueur aux cheveux bleus et au teint bronzé, elle ne daigna ajouter plus de dialogues entre elle et son "amie". La flamme qui brûlait dans les yeux de ce dernier lui rappelait une connaissance qu'elle n'avait pas revue depuis longtemps. Dans cette force, elle le reconnaissait. Bien que rares avaient été les occasions qu'elle avait eu de le voir jouer au basket.
  La jeune fille aux cheveux roses, quant à elle, avait remarqué la direction que prenaient les yeux de la brune. Cela éveilla ses soupçons. Elle sourit légèrement, avant de se tourner vers Yachiru.

  « Sekai-san... T'intéresserais-tu à Daiki-kun ?
  — Qui ça ? L'interpella la nouvelle, déconcertée.
  — Le jeune homme aux cheveux bleus que tu dévores des yeux depuis tout à l'heure ! S'exclama-t-elle, presque assez fort pour que les joueurs entendent. »

  Le regard de Yachiru se glaça, à l'instant où elle comprit. L'aura qui émanait d'elle commença à effrayer sa pauvre interlocutrice.

  « Ce joueur me rappelle tout simplement un cousin rencontré lors d'un Noël tout à fait désastreux.
  — Je... Je vois... finit Momoi légèrement troublée son aura.»

  L'entraînement finit, les joueurs, épuisés sortirent chacun à leur tour de la salle. Yachiru soupira puis s'étira, elle était restée longtemps assise dans la même position. Elle et son amie se levèrent et se dirigèrent vers le terrain. L'entraîneur lança alors ironiquement à "Daiki":
  «Je te félicite, tu as enfin participé à un entraînement ! Depuis le temps !»
  Avant de se prendre un vent royal. Momoi rit discrètement sous sa manche. Le jeune homme aux cheveux bleus était bien trop occupé pour lui répondre : il était en plein duel de regard de la mort avec Yachiru. Du côté de ce dernier, les éclairs fusaient. La jeune fille, quant à elle, restait glaciale comme à son habitude. Daiki détourna finalement son regard et continua.
« Oye ! Satsuki ! Viens ! Lança-t-il.
  — J'arrive, à bientôt Sekai-san !» répondit la manager, toute souriante.
  Yachiru répondit d'un signe de la main avant de continuer son chemin. Elle passa près de la salle de musique, qui faisait un boucan d'enfer. N'étaient-ils pas censés jouer correctement du violon ? La jeune fille accéléra le pas, afin de ne pas entendre d'avantage de cette horrible "musique". Elle savait parfaitement jouer de cet instrument, elle : ce n'était pas si difficile. Elle en possédait d'ailleurs un chez elle, un magnifique modèle de grande qualité. Il avait appartenu à un de ses oncles, un violoniste de renommée mondiale. Alors qu'elle croisa un groupe de filles formé d'une pimbêche rousse, d'une blonde platine et d'une brune, un sourire sadique apparut sur son visage. Une idée venait de germer dans son esprit. Une idée qui ne pourrait que déplaire à cette stupide équipe de basket.


Une jeune fille, aux longs cheveux roux cascadant jusqu'à ses cuisses (il ne fallait pas imaginer comment elle faisait pour se les coiffer…) et aux yeux verts, discutait tranquillement avec ses amies lorsqu'une inconnue la frôla. Elle ne la sentait pas, mais vraiment pas du tout cette nouvelle.
«Qui est-ce ? interrogea-t-elle, une fois qu'elle fut partie.
— Un nouvelle, tout simplement, répondit la brune aux lunettes rouges.
— Bien sûr que c'est une nouvelle ! Mais c'est qui c'te fille, qui a osé... commença-t-elle, agacée.
— Yachiru Sekai, deuxième année. Elle est dans ma classe, coupa la blonde platine, qui se passa une main dans les cheveux.
— Et... Quels membres du club de basket en fait partie ? continua-t-elle, en se retenant de lui faire regretter de lui avoir coupé la parole.
— Ton frère, Ariake Kataki...
— Merci, je sais tout de même comment s'appelle cet imbécile de première, s'exaspéra-t-elle.
— ... Et Momoi Satsuki, la manager, finit la jeune fille.
— Je le savais ! Elle profite de ses liens avec Momoi-san pour approcher de mon petit ami !
— Mais, Hanae-chan, ce n'est pas ton petit ami... Enfin je pense... intervint la brune.
— Tu as quelque chose à redire, Misaki-chan ?» 
Hanae fusillait du regard Misaki, la pauvre baissa la tête afin de lui affirmer que non.
«Bien, reprit la rousse. Misaki, Yui, nous allons surveiller de près cette Sekai. Elle ne l'aura pas, je peux vous l'assurer ! Termina Hanae.»
Le trio repartit alors, un sourire machiavélique aux lèvres.

Il est classe le poème, je sens que toi aussi ta saison préférée c'est l'hiver. Et EN PLUS y a des flocons !

*SWAG DE POULE*
MIAOU MIAOU, MIAOU MIAOU MIAOUUUUUUUUU !

Wiiii vive l'hiver! (Ça s'voit dans mon pseudo non? xD)

Il m'a fait rire ton récit ^^ Beaucoup d'humour même s'il y a des petits trucs qui ne vont pas mais l'humour chapeau ^^