laisse tomber il a pas trop de logique mon dernier poème ^^

Son Regard

Je le vois:
Il me regarde.
Je le regarde.
On s'est longtemps regardé.
Pas là.
Mais on se regarde.
On sait,
Tout les deux
Que c'est le dernier.
En un regard,
On le savait,
Tout les deux.
En un regard,
Brillait tout notre amour.
Indescriptible tellement il était.
Indescriptible mais vécu.

Il vit toujours mais pas lui.

C'est dommage que des fois sa ne rime pas, mais sinon il est bien

Parfois, j'ai envie qu'ils riment et parfois non ^^ Parfois, je trouve que les rimes amènent de la complexité à la lecture du poème ;)

ça amène de la complexité surtout pour l'écrire le poème ^^, je ne sais plus combien de fois j'ai bloquée à cause d'une rime ^^

Ou pas ^^ Si je fais un poème où je décide qui soit un rime y a pas de soucie parfois, je réfléchie plus mais ça va ^^
Un poème n'a pas forcément des rimes, un mètre ou une forme après je comprends que tu peux préférer un poème où y a des rimes ^^

L'Apogée du désir ambitieux

Sous le royalisme,
Celui qui n'avait aucune chance d'être Prince
Et qui le désirait avec obsession pouvait l'être:
Il jetait le sac de l'entière vertu.
Plus rien ne comptait.
Juste le pouvoir.
Rien ne pouvait l'arrêter.
La détermination est l'arme la plus forte.

j'aime beaucoup ^^

Merci ;) J'aimais moins celui là x)

Insomnie

Je veux dormir
Mais je suis éveillée
Mais je suis fatiguée.
Je veux dormir.

Je veux fermer les yeux
Et faire des rêves joyeux.
Le jour je suis éveillée.
La nuit je suis éveillée.

Quand puis-je dormir ?
Je suis fatiguée.

lui je le trouve bizarre ^^

le combattant de la nuit

le soleil s'est couché,
tous le monde c'est endormis,
il franchit les limites du camps dans le silence de la nuit,
la bataille va commencée.

telle une ombre discrète,
il avance dans les vestiges de la fête,
dégainant son épée silencieusement,
il avance doucement.

il fait une halte près du feu,
les flammes se reflétant dans ses yeux,
l'épée au poing,
tel un assassin.

la lune encore caché,
du sang à gicler,
la paysage de rouge sang s'est teinté,
la lune de sang s'est levée.

il quitte le camps abandonné des vivants,
ses habits recouverts de sang,
avec un sourire non dissimulé,
le combattant de la nuit est passé.

ses ravages sont comptés,
par les vieux des villages,
où il est déjà passé,
durant son harassant voyage.

le fantôme stupide,
l'assassin morbide,
combattant de la nuit jamais,
au grand jamais rassasié.

le jour où il partira,
le jour où il décédera,
tous le monde, enfin,
fera la fête, une guitare à la main,
et tous le monde chantera "oui,
adieu le combattant de la nuit."

(je sais pas trop si c'est un poème ou une chanson vu que je l'ai écris sur l'air d'une musique plutôt entraînante ^^)

Pourquoi ? ;)

J'aime trop ! Il est fluide et tout ! T'as le lien de la chanson pour voir si c'est mieux avec ou sans stp ? ;)

  Il est derrière un arbre, pleure jusqu'à ce qu'il n'en ait plus la force. Il est secoué de spasmes. Je me décide enfin à approcher. Je me racle la gorge. Il est sourd ou bien il est dans un monde complètement différent, le monde lugubre : celui où on peut nous parler, nous crier, nous hurler, nous tonner dessus : ça ne changera pas. Alors je le secoue. Il lève d'un mouvement las sa tête. Ce garçon a beau être enveloppé par les ténèbres, ruisselant de tristesse, il est beau, magnifique, sublime. Ses cheveux bouclés bruns lui tombent sur le front, ses yeux sont verts natures avec de petites tâches noires comme un papillon.

    Nous marchons, discutons. Je lui propose d'aller à la plage. Il grimace et me supplie de ne pas l'y emmener. Je lui réponds que avec le soleil juste au dessus de nos têtes, on n' a pas le choix. Il parait perplexe. Je l'attrape par la main et m'élance en direction des dunes de sable. A l'instant où nous allons plonger, je déclare : « Tu n'enlèves pas ton tee - shirt ? » Il m'observe un long moment et finit par prononcer : «  Désolé, je ne peux pas.
- Tu as peur de me montrer tes muscles ? », répondis - je en plaisantant. Il se détourne d'un pas maladroit. Je cours. Il est assis par terre et murmure : « Je m'appelle Jean et je ne suis pas fou. » Pour tout vous dire, je suis déconcertée. Je lui pose les mains sur les genoux, lui repousse une mèche rebelle. Il me regarde d'abord avec rage puis avec angoisse et pour finir d'un air vide. Je lui explique que je veux voir son dos. Il ouvre la bouche aussitôt pour contester mais la referme subitement quand j'appuie mon regard. Il se lève, fait des pas de ci de là. Je le place dos à moi. Il tressaille. Il ferme ses mains comme une noix. Je soulève son tee - shirt. Je ne voudrais pas mais je suis incapable de détourner mes yeux de cette horreur sanguinolente. Mais qui a bien pu faire une chose pareille ! Il reste muet. Tout est clair, s'il a sangloté, s'il n'a pas voulu enlever son tee-shirt, c'est tout simplement parce qu'on a inscrit dans sa chair : FOU. Je vais essayer d'avoir un peu de sang – froid, au moins une fois dans ma vie. J'aimerai avoir un ton calme mais il est plutôt mêlé à l'agressivité et la peur : « Qui t'as fait ça ? » Il est complètement effaré, apeuré comme les souris enfermées dans une cage en laboratoire et que l'on va soumettre à différents tests plutôt désagréables :
« Pourquoi t'as t-on mutilé ?
- La réponse est dans mon dos, articule - t -il.
- Qu'est – ce qu'il te fait dire ça ?
- On dit que je suis fou parce que je parle tout seul.
- Tu es ton propre ami. Il n'y a pas meilleur ami que soi même. On dit qu'un ami est la personne qui peut le mieux nous comprendre sauf que toi tu es le seul à mieux te comprendre parce que c'est toi qui te connais mieux que n'importe qui d'autre sur Terre. »

Jean et moi ne cessons plus de nous voir. Tous les jours ! Aujourd'hui, il m'attends, entrain de lire, adossé contre un chêne majestueux. En arrivant devant lui, je le salue avec entrain. Il ne bouge pas. Il lève seulement les yeux et se replonge dans sa lecture. Mon ami marmonne un salut d'une voix à peine audible. Ce roman doit être passionnant au point d'en oublier son entourage : Le Sagouin de François Mauriac. Je n'avais jamais lu ce récit. Pourquoi Jean lis un livre de François Mauriac ? De plus, si le titre reflète le roman, l'histoire ne doit pas être très tendre. Discrètement mais pas assez pour moi, mon ami décale une mèche devant son œil. On dirait qu'il essaye de se cacher les yeux. Je l'observe un moment sans mot dire. J'observe sa gène un moment sans mot dire : « Jean ! » Il avale sa salive et rougit. Je lui demande calmement ce qu'il a. Je m'assis au près de lui. L'herbe s'envole. Je cligne des yeux. Elle est toujours ancrée dans la terre. Je soulève la mèche de Jean. Il est crispé. Moi aussi. Il relâche légèrement sa mâchoire. Moi aussi. Ces secondes ci, durent une éternité. Il a un œil au beurre noir. Je me colle à lui : « J'ai oublié, articule - t - il.
- De quoi parles - tu ? » Je lui prends la main. Ce que je ne fais avec personne ! Elle est chaude et glissante. Il continue d'une voix plus maîtrisée : « A chaque fois… J'oublie qui me fait du mal. Je m'enfuis. Je pleure. Tu me réconfortes. Je souris. Tous les jours… » Je réfléchis un bref instant pour ne pas dire de bêtise : « Je vais t'aider à te rappeler et à y mettre un terme. » Il sourit. Nous sommes déterminés. Nous avons espoirs. Nous vaincrons.

Ce matin, je me promène au bord de la plage. J'entends les vagues lasses fouetter les rocs aiguisés. L'iode imprègne l'air marin de son odeur agréable mais amère. Le soleil illumine mon chemin. J'avance décontractée, bercée par la douceur de la nature azure. La journée exhale la joie ! Un petit sourire se dessine sur mes fines lèvres. Je fronce les sourcils à la vue d'un petit groupe qui semble embarrassé et impuissant. Au fur et à mesure que je me rapproche de l'attroupement, j'accélère la cadence jusqu'à courir. J'ai un mauvais pressentiment ! Le discours de ces gens n'annonce rien de bon ! Je dépasse la foule, essoufflée. Jean se tient à l’extrémité d'un gros rocher. S'il tombe, les pierres taillées comme un glaive se feront une joie de lui arracher son âme souffrante. Une sueur glaciale glisse le long de mon échine. Il fait chaud, pourtant des frissons circulent entre mes poils. Dès lors où je me retrouve devant les citadins, ils restent muets. Je suis à trois mètres de Jean mais je sais qu'au moindre pas en avant, je le perdrai. Je tremble. Lui aussi d'ailleurs. Je l'appelle d'un ton calme qui m'étonne. Il n'ouvre même pas la bouche mais il n'a pas besoin de parler pour que je comprenne. Il me suffit de lire dans son regard voilé par un grand désespoir et une grande douleur. Il veut rompre sa vie. Ma gorge se serre et me brûle. Il me regarde éperdument. Mes prunelles s'emplissent de compassion. La foule avait disparu. Je ne m'en suis pas rendue compte. Mon ami observe le vide qui l'attirerait vers une mort imminente. J'ai l'impression que j'allais m'envoler. Je lui murmure avec tendresse : « Je n'ai pas choisi de vivre, je n'ai pas choisi ce monde pathétique mais je suis déterminée et j'ai de l'espoir, j'ai un cœur qui me permet d'aimer et donc de vivre heureuse même quand je suis malheureuse. » Son regard change aussitôt. Il marche lentement vers moi. Demain, je le reverrai. Il m'enlace et pose sa tête dans le creux de mon cou. Je souris. Je passe une main sur son dos pour le rassurer. Il pleure en silence. Je le sens.

Plusieurs semaines défilèrent depuis notre rencontre imprévisible à la plage. Il revenait toujours avec des marques… Des jours, il oubliait qu'il avait mal, d'autres jours, il avait besoin de réconfort. J'admire sa force intérieure. Après une rude mais agréable journée de bénévolat qui consistait à protéger les chats de la ville. Jean veux rentrer chez lui. Nous nous étions bien amusés. Nous avions pris notre travail très au sérieux. Nous étions complémentaires. Lui et moi étions fatigués mais nous ne regrettons rien. Au contraire, nous sommes fiers de notre ténacité : « Une bonne nuit de sommeil ne nous fera pas de mal ! », s'exclame Jean d'un ton mis amusé mi las. Il devait repenser au petit chat à la robe noire scintillante comme une constellation. Ce petit félin était coincé dans un grand arbre. Le temps que Jean revenait, j'étais déjà entrain de grimper. Il avait inscrit dans le bois : La mère Michelle se prend pour un singe ! Le chat avait été le seul à ne pas rire. Nous longeons les palissades. Je m'arrête subitement. Un matou à la robe embrasée rayée de protubérance est allongé sur la large clôture. Il est magnifique ! Le matou d'Hélios nous ignore : « Il te plaît ? », me demande Jean en souriant. J'acquiesce les prunelles pétillantes en hochant la tête. Les propriétaires de cette maison avait déménagé et abandonné leur chat au poil mi - long. Ces hommes n'ont ni cœur ni cerveau ! Mon ami s'approche doucement du petit carnivore. Ce dernier se retourne. Je me retiens de rire. Jean prend avec douceur la queue rousse, pendant de l'autre côté du muret. Le chat ramène aussitôt sa queue auprès de ses pattes. Mon ami téméraire caresse la tête de l'animal comique. Il ronronne. Je prends la bête à poils dans mes bras. Il pose ses deux coussinets sur mon épaule. Je souris. Il est mignon ! Jean me souhaite une bonne fin de journée et pars en direction de chez lui. Je n'allais pas faire la même chose. J'allais le suivre le plus discrètement possible afin de découvrir peut-être l'identité de son tortionnaire.

Dès que Jean change de rue, je me cache derrière une maison ou me colle contre un mur. Le félin est sage, il reste dans la même position. Son pelage est sublime mais pour le camouflage, il l'est moins. Mon ami se dirige dans une ruelle le pas hésitant. Il n'y a rien à part la peur de Jean que je ressens comme ma propre peur et une grande maison dominant la rue. Même le chat d'Hélios est angoissé. Il couche ses oreilles sur le côté et cale sa tête dans le creux de mon cou. Je lui caresse la tête. Il miaule. Nous sommes à quatre mètres de Jean. Ce dernier n'entend pas le matou. Mon ami marche à la lenteur de la terreur. J'avale ma salive. Je devrais peut - être lui interdire d'y entrer ? Non ! Aujourd'hui, il sera sain et sauf mais demain, après demain… Je laisse perler quelque larme, en silence, le long de mes pommettes. Je serre la chat roux dans mes bras. Il a peur mais sa présence me rassure. C'est dur d'observer son ami se jeter dans la gueule du loup mais c'est l'unique solution que j'ai trouvé. Jean toque à la porte. Je frissonne et me cache derrière une poubelle. J'entends le claquement menaçant de la porte. Je dépose le félin au sol et trottine sans bruit vers la maison. Je regarde avec précaution, à travers la vitre de la sinistre demeure. La cuisine et le salon ne forment qu'une pièce. L'intérieur est obscur. Jean est attaché par une corde épaisse à une chaise. Je serre les dents, malheureusement ce n'est pas le plus terrifiant. Un homme vêtu de noir manipule toutes sortes d'objets dangereux en les citant un par un. Jean est impassible. Je suis irascible. Le tortionnaire se retourne munit d'un long couteau qu'il lance en l'air et rattrape. Je ne vois que son rictus sadique. Heureusement ! Il s'approche de Jean à la lenteur de la douleur et de l'horreur en faisant gémir le parquet : « Alors mon petit, prononce le bourreau d'un ton mi mielleux mi faux, qu'est - ce que je vais te faire, aujourd'hui ? » Il montre à Jean la lame de l'objet fatal. Mon ami plisse les yeux. La colère, la rage, le courroux, la fureur, la haine entrent dans les pores de ma peau. Je lance la poubelle de toute à l'heure, qui s'est retrouvée ici. A peine la vitre se brise, je saute dans à l'intérieur de la lugubre maison. L'homme jette l'arme dans ma direction. Je l'esquive in extremis et bondis sur le tortionnaire. Jean essaye de se libérer. Je mords le nez du bourreau fermement qui hurle. Il me pousse avec puissance contre un mur. Je me secoue voyant trouble. Je me relève et le frappe toujours au nez d'un coup de poing sans pitié. Il saigne et grogne. Il attrape un second couteau avec agilité et m'immobilise : « Regarde Jean ! Tu vas assisté à la mort de ton amie ! », ricane le criminel. Jean s'était détaché. Il se cache derrière le canapé : « Jean ? », tonne le bourreau. L’intéressé surgit à la vitesse d'une flèche lancée par Robin des Bois, devant son cauchemar et lui entaille la jambe. Ce dernier crie de douleur. Il s'enfuit cahin-caha. J'enlace Jean sans réfléchir. Nous murmurons en un souffle de soulagement : « Merci. »

Je sens une main frotter ma jambe. C'est mon père. Il vient me réveiller. Jean et moi ne pouvons pas nous passer l'un de l'autre. Ce garçon a besoin de moi et moi, j'ai besoin de lui pour éviter d'atroces cauchemars. Nous devons nous entre aider l'un et l'autre pour vaincre la nuit monstrueuse. J'ai appris à connaître Jean. Il m'aime. Je l'aime. L'amour passe d'abord par l'amitié.

la chanson ... il me semble que c'est celle la : https://www.youtube.com/watch?v=gG5LjubSR-w

c'est pas un poème, c'est une nouvelle ton truc O_O"

Y a écrit qu'elle n'existe pas ^^

Oui je sais xD

j'ai changé le lien essaye, maintenant ça devrait fonctionner

Merci ^^

Je préfère sans parce que le rythme est trop rapide par rapport à la lecture que je lui donnai ;)

Le Second Monde

Le Soleil suintant des océans de laves,
Des millions de flocons cristallisés se cramponnaient aux eaux brûlantes.
Ils vécurent des années
Grâce à l’imagination.

L’imagination est un pouvoir ancestral.
L’imagination est la production dans un second monde.
Nous vivions dans deux mondes.
Ce qui ne paraît pas possible dans l’un, l’est dans l’autre.
Nos rêves seront réalisés quoi qu’il advienne.

j'aime beaucoup l'idée du poème ^^, et le poème en lui même aussi, y a un beau vocabulaire

Merci ;)

La Reine Nocturne

Le Jour tire le drap de la Nuit.
Elle cale sa tête sur la Lune.
Le drap est troué d’étoile scintillante.
Seuls les animaux nocturnes vivent.
Ils chassent, ils chantent, ils jouent.

L’Homme est peut-être le Prince du Jour
Mais la nuit, il est valet.
L’être dominant dort la Nuit :
Il cache ses faiblesses.

La Nuit engloutit l’Homme de ses crocs aiguisés :
C’est un animal sauvage.

Mon Baiser

Mon baiser est rare
Comme une perle archaïque.
Mes lèvres posées,
Tu savoures le mystère révélé.

Tu goûtes, tu aimes, tu dévores.
Tu voudrais en manger continuellement
Mais c'est la rareté qui en fait de l'ambroisie.

Nous


Quand tu me touches la peau,
C'est le chaos dans mon cerveau.
Quand je sens ta sueur,
Je n'ai plus peur dans tes bras protecteurs.
Quand je goûte tes lèvres,
Je ne sens plus que ta fièvre.
Quand j'effleure ton cou,
Je ne sens plus que ton pouls.
Quand je sens ta chaleur,
Je n'entends plus que ton cœur.


Je ne vois que toi.
Je n'entends que toi.
Je ne fleure que toi.
Je ne goûte que toi.
Je ne sens que toi.

Le Fantôme

Certaines nuits,
Je suis un fantôme
Hantée par la culpabilité,
Des souvenirs ou des cauchemars.

Je me sens bien :
Je ne me sens pas
Mon corps est sûr et discret.
Il se glisse tel un esprit.
Mes gestes sont légers mais automatiques.
Mon âme est assouvie :
Elle est dominée par les profondeurs de ses mystères révélés.

Le corps éteint,
L’âme utilise sa force.
Elle est plus vivante entre les bras de Morphée :
Elle est naturelle.

Cette nuit encore,
Mon âme a allumé mon corps.

Ce poème est son résultat.

Waaa ! Vous etes tous très douer. J'adore ton poeme Etoile Brune ^^

Merci ! ;)

Tu aimes écrire aussi ? ;)

Oui un peu mais je suis pas trop douer. *-*