Alors en fait, ce texte était à la base sur un autre fow. Mais je le mets la, parce que lololililoluhuhuhuhuhuhuhhohuhubuhnnuguh.





BON, alors le premier qui me dit "lol un londres sombre et patati patata ça a déjà été fait", sachez que ce londres a déjà existé. Le quartier de Jack L'éventreur était comme ça. C'est juste que j'ai décidé d'en faire une ville néofuturiste steampunk glauque.


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Jack l'égorgeur


Ils l'encerclaient de toutes parts. Les agents de police, leurs lances à la main. Ils devaient être une cinquantaine, si ce n'est plus. Jack l'égorgeur les regardait, un à un, analysant leurs états moraux. Certains étaient en plein stress, d'autres impatients. Impatients de l'arrêter. Jack l'égorgeur était le fils de Jack l'éventreur, le plus grand tueur en série. Il en était fier. Son père lui avait légué son arme fétiche; L'éventre-coeur. Un long baton métallique aux extrémités arrondis au bout duquel se trouvait une scie-circulaire, qu'il pouvait mettre en marche par le biais d'un bouton de trouvant tout en bas du bâton. La scie-circulaire pouvait bien évidemment être retirée du bâton, pour plus de mobilité.
Jack se tenait de dos aux policiers, penché à sa victime; un homme d'affaire qui réduisait des enfants à l'esclavage. En soit, Jack s'en fichait, tout ce qu'il voulait, c'était faire de nouveaux meurtres, afin de battre le record de son père, qu'il brandissait avec fierté comme un trophé. Les gardiens de la paix, eux, se rapprochaient de Jack, les mains tremblantes, pas à pas. Ils étaient partout autour de lui. Jack voulait voir leur sang couler. Il voulait les voir morts. Un sourir se dessina sur ses lèvres. Pas un sourir morbide, un sourire amusé, comme après avoir entendu une bonne blague.
Jack était le tueur en série le plus crain de Néo-Londres, cette ville au ciel constamment caché par la brume, empêchant tout contact lumineux avec le soleil. Les rues étaient sombres et humides, incessament mouillées à cause de la pluie. Tout était morbide, glauque, macabre. La vue était immonde, car uniquement constituée de gigantesques cheminées, d'où sortaient jours et nuits une fumée qui puait le charbon dans toute la ville, même dans les rues les plus basses.
Jack était aux premières loges pour observer cette vue malsaine, car sur l'une des nombreuses plate-formes coulissante sur de longues barres de fer. Ces plates-forment servaient à se déplacer de cheminées en cheminées, comme des stations de métros à cent mètres du sol. Jack aimait observer ce spectacle. Le chaos était l'adjectif qui la qualifiait. Cette ville était coupée du monde, un large point sombre sur une carte du monde, sans aucun contact, aucune route commerciale, aucun alliés, aucun ennemis.

Cette ville était une ville morte.

Les policiers étaient maintenant à dix mètres de Jack, toujours penché sur sa victime baignante dans son sang, une profonde entaille au niveau du coeur. Tout d'un coup, les bruits silencieux de pas des policiers s'arrétêrent. Une voix s'éleva ensuite:
"Jack, certains en villes vous considèrent comme un héros, mais un héros ne tue pas froidement ses victimes sans une once de justice !"
Jack, quand à lui, se leva, faisant claquer son manteau au vent. Il se tourna face au policier qui lui avait parlé, la tête vers le bas, le visage ainsi caché par son chapeau, et dit d'une voix étonamment aigüe:
"Eh ben mon gars, faut décoincer des fesses à un moment. Nan mais vous verriez le rithme de votre respiration, s'en est navrant, on croirait que vous allez faire un arrêt cardiaque."
Les gardiens de la paix reculèrent, surpris de la réplique de Jack
"Que... euh, donc je disais, nous allons vous arrêter, au nom de la justice !", lui répondit son interlocuteur
Jack releva la tête, dévoilant le visage d'une adolescente, de quatorze ans environ.
"Alors amenez-vous.", répondit-elle tout simplement.
Les agents de police, d'abord déconcertés, reprirent leurs esprits, mais quand même surpris du visage du célèbre tueur en série, qui était en réalité une tueuse.

Une dizaine de policiers fondèrent sur Jack en même temps, en l'encerclant. Le premier à l'attaquer leva sa lance et se prépara à l'embrocher. Jack parra le coup avec le manche de son baton, dégagea la lance d'un revers de bras, et planta la scie circulaire en plein milieu du torse de l'agent de police de ses petites pointes, telles des épines de ronces. Le policier émit un petit cris sur le coup. Jack lui déclara un sourire amusé, et dit:
"Désolé, c'est trop tentant !"
Sur quoi elle émit un petit rire et appuya sur le bouton pour faire tournoyer la scie. Le policier hurla de douleur et des centaines de goutelettes de sang voltijèrent dans tous les sens, asperjant les collègues du malheureux qui venait de tomber au sol, sanguinolent et agonisant.
"Trois seconde, déclara Jack, Trois seconde et déjà un de mort. Vous êtes sûrs de vouloir vous battre contre moi ?... Enfin; si on peut encore appeler ça un combat."
Les neufs autres, pris de cours, essayèrent la même attaque que leur camarade sanguinolent au sol, mais en encerclant Jack. Mais au moment ou les pointes des lances allait la toucher, elle fit un bond prodigieux, passant par dessus les policiers, et atterit derrière eux. Les gardiens de la paix s'embrochèrent entre eux, n'ayant même pas eu le temps de se rendre compte de l'esquive de Jack. Des jets de sang jaillirent des endroits ou les policiers s'étaient transpercés le corps, créant une véritable fontaine sanglante poisseuse et macabre. Les corps des pauvres décédés tombèrent au sol, ne stoppant toujours pas l'hémoragie. Jack regarda les policiers restant; une quarantaine environ. Ils avaient vraiment mobilisés un grand nombre d'agents de police pour l'arrêter, ce qui était compréhensible lorsqu'on savait qu'elle avait à elle toute seule détruit une usine de charbon.

"Bon, il était bien votre échauffement. Vous vous ramenez maintenant ?"
Tous le reste des policiers se fondèrent sur elle, commençant alors un combat acharné. Tantôt Jack parait un coup, puis découpait en morceau celui qui avait essayé de lui couper un bras, tantôt elle esquivait, faisant des acrobaties d'une prodigieuse agilité. (agilité et souplesse c'est pas pareil au fait, juste au cas où vous ne le sachiez pas) Elle parvenait à alterner entre attaque et esquive, même face au nombre impressionant de policiers qu'elle combatait en même temps. Ils tombaient les uns après les autres, faisant couler le sang par dizaine de litres, qui se mirent à recouvrir le sol de la plate-forme, et même à déborder et couler en bas des rues. Jack en était recouvert, et plus elle attaquait, plus elle était ennivrée par la dynamique de la bataille. Bientôt, il ne restait plus que cinq policiers, et les cadavres devenaient encombrant tant il y en avait au sol. L'un essaya une attaque de déséspoir, que Jack para sans problème avant de répondre avec un coup de scie tournoyante dans la gorge. Les quatre restant, qui savaient qu'ils ne pouvaient pas la battre, préferèrent sauter de la plate-forme et mourir écrasés plutôt que déchiqueté par cette tueuse qui avait dix coups d'avance sur eux.
"Mais noooon, c'est pas du jeu !" S'exclama Jack, déçue.
Elle resta un moment la, toute seule, regardant le paysage de cette ville qu'elle aimait tant, au milieu du sang et des cadavres. La fumée de charbon sortait des milliers de cheminées, encore et toujours. Un sourire satisfait vint enjolir son visage, alors que la plate-forme commençait à entrer dans une des cheminées, avant de descendre comme un ascenceur dans l'usine de charbon qui l'accompagnait.

"Eh bien, déclara-t-elle, où est ma prochaine victime ?"

Je l'ai déjà lu gnehehe

XD Je me sens pas de débattre sur ça Poulp' ^^ Tu n'as fait que dire oui mais bon mais bon ^^ On s'en fout tant qu'on s'éclate ^^

XD tout en délicattesse Jack l'égorgeur ^^

Mwa je me sens de faire un débat politique. Ou un dialogue de sourd. C'est pareil de toutes façons.

"VOS SPECULATIONS SONT FAUSSES ! CERTE JE N'AI FAIT QUE DIRE OUI MAIS LA QUESTION ETAIT VERITABLE ! IL NOUS FAUT AU FORUM UNE CONSTITUTION ! ET SANS UNE REPONSE POSITIVE DE TOUS LES POETES DU FORUM A CE MOMENT PRECIS (agile...moi... puis 2 jours plus tard toi... Puis moush... Puis hiver... Puis graine... puis loliloihuhuhuhu...) CET ATELIER N'AURAIT JAMAIS EU UNE EGALITE RACIALE ET DES SEXES ! NON MADAME, JE N'EN AI PAS HONTE, NON MADAME, JE TROUVE QUE JE FAIS BIEN MON TRAVAIL. OUI MADAME, PARFAITEMENT !"

Contez ça comme un récit de plus sur l'atelier: un discours.

Tu inverses "puis hiver" et "puis graine" et c'est bon ^^

Tu sais quoi Poulp' : Ok mdr ^^

Je peux rien répondre à ça ^^ Mais oui si tu veux écrire un discours pourquoi pas c'est l'atelier des écrivains ^^

*voit l'avatar de Poulp*

QUOI ?!
TU... TU TUES DES RENARDS ?!

Mais noooooon, c'est juste que tails est mon personnage préféré dans Sonic, voir mon personnage de jeu vidéo préféré tout jeux confondus.

Moi aussi c'est mon préféré dans sonnic ^^

C'est un poème pour une amie qui était triste ^^:

Pour toi


J'ai seize ans.
Qu'est - ce - que c'est la vie ?
Je réfléchis,
Sans être authentique...

J'ai seize ans.
Je suis honnête sauf avec moi.
Aujourd'hui,
Je suis honnête avec tout le monde !

J'ai mal.
Je suis silencieuse.
Je suis oppressée.
Je regrette...

Toujours...
Encore...
Je suis épuisée...
J'ai besoin d'un câlin.
Juste un !
Juste un vrai !
Pas avec un doudou...

J'ai besoin de réconfort.
J'ai besoin de soutien.
Je me sens seule...

Je suis attentive.
J'écoute les larmes de mon âme murmurer la raison.
Je ne suis pas seule.

Pas de joyeux futur sans mauvais passé !

Qu'est - ce que c'est la vie ?
Un jeu audacieux et philosophique.

Je n'ai pas choisi de vivre.
Je n'ai pas choisi ce monde pathétique
Mais je suis déterminée et j'ai espoir.
J'ai un cœur qui me permet d'aimer malgré la douleur
Et de vivre heureuse.

Oouuuuh !

Alos c'est un poile "nyan nyan", mais c'est normal si c'était pour remonter le moral (je suppose), par contre MON DIEU C'QUE C'EST BIEN ECRIT. C'EST SIMPLE, LES MOTS SONT PLACES DE FACON HYPER INGENIEUSE, HU, HU, HU.

Bah c'est Brownie, tu t'attendais à quoi?

XD En irl vous me faîtes rougir ^^ mais vous pouvez pas me voir ! ^^

Grr :c
Surtout que t'es trop belle, et cette mèche omg **

Mdr merci ^^ T'es mignone ^^
Mais je trouve que physiquement on se ressemble : le teint, les cheveux, les yeux...
Mdr à chaque fois qu'on parle de ça, j'ai en tête les photos où tu grimaces ^^

Naaan pas ces photos >.<

Ouais, maman Brownie **

^^

Les alliés de l'Amour

" Maman, est - ce que je dois avoir peur de l'amour ?
- Oui mon chéri.
- Pourquoi maman ?
- Parce que l'Amour a engendré Jaloux, Abus et Trompé.
- Oh ! Elle a pas fait ça ?!
- Si elle l'a fait...
- Alors, pourquoi les gens disent que l'Amour est le cadeau de la vie ?
- Parce que l'Amour a eu d'autres enfants.
- Ils sont cruels eux aussi ?
- Oh non mon petit ! Ils sont magnifiques !
- Qui sont - ils ?
- Confiance, Honnête, Pair, Heureux, Tendresse...
- Il y en a d'autre ?
- Oui mais n'oublie pas les frères de l'Amour !
- Je ne l'ai connais pas...
- Mais si ! Amitié et Altruiste !
- L'Amour est donc un dé. Il suffit de ne pas tomber sur les mauvaises faces. "

Contraste égalitaire

Aveugle le jour,
Lumière éblouissante.
Aveugle la nuit,
Ville uniforme.

Sourd le matin,
Tête dans les nuages.
Sourd le soir,
Maman bruyante.

Anosmie à l'aube,
Réveil doucement.
Anosmie au crépuscule,
Malheureuse réalité.

Agueusie au dîner,
Repas fade.
Agueusie au souper,
Repas trop épicé.

Insensibilité à midi,
Ni chaud.
Insensibilité à minuit,
Ni froid.

La différence est l'égalité.

Oui donc ya des mots que je comprends pas //PAN//

Attention poème au sens ultra caché en approche! Le premier qui trouve le sens a gagné x) évidemment, Brownie et ceux qui ont vu la discussion sur skype de comptent pas huhu



Paradis amer

Sur un nuage blanc tu regardais la Terre
De ton palais de jade tout semblait si beau
Que tu serais perdu face à la réalité

Je le briserai !
TON FAUX PARADIS !


Connais-tu seulement la couleur de l'amertume ?
Ces bonbons trop sucrés ne t'ont pas écoeuré?


Pourquoi j'te haïs ?!
TU LE SAIS DÉJÀ !


Des milliers d'oiseaux s'échappent de leur cage brûlée
La tienne est trop dorée pour l'abandonner
Es-tu capable de voler de tes propres ailes ?

Tes ailes sont déchirées !
RÉPARE LES!

Un autre poème tout mignon (OU PAS)

Âmes sensibles s'abstenir

La Colline aux coquelicots

Là bas sur la colline fleurie
Deux enfants, deux jumeaux jouaient
Nuit et jours s'échangeaient un ballon
Gaiement, gaiement, vifs et énergiques
Nuit et jour répétaient un mouvement mécanique
Toujours, toujours, ne jamais s'arrêter
Leurs parents les recherchaient?
Leurs parents n'existaient plus
Des bras squelettiques qui grincent
Une teint livide, fantomatique, inquiétant
Des cernes plus noires encore que la nuit
Sous des yeux rougis, gonflés par la fatigue
La couleur écarlate atteint leurs pupilles écarquillées
Le jour est partit, souffrant de cette vision horrifique
La nuit est restée, délaissée par l'autre
Sous l'obscurité nocturne
De la triste nuit torturée
Pour mettre fin à son supplice
Elle voulut tuer les jumeaux maléfiques
Mais les enfants mutilés continuaient de jouer
La colline était couverte de coquelicots ensanglantés
Leurs squelettes dansaient encore avec une balle vermillon
Tandis que leurs âmes libérées d'une ronde infernale
Descendaient au village d'en bas retrouver
Les mortels horrifiés

Quelles mots est - ce que tu n'as pas compris ? ^^

Bon bah le premier je dis rien en plus, y a eu un débat et une enquête sur Skype ^^

Mais le deuxième Hivou, le deuxième ! IL LES BAT TOUS ! EXTERMINACION DE POEME ! Je le trouve juste trop trop beau ! Tes vers sont vraiment bien construisent et comme pour l'autre, le vocabulaire est bien placé et riche ^^

C'est Dieu dans le premier, lulz.

Il est classe le deuxième, èm dé èr.

Hivou ! Puis - je parler à propos du 1er poème ! Parce qu'à la base, c'est ce que j'avais dit ^^

Bein ça peut être vu comme dieu mais nan
Enfaite dans un certain sens ouais c'est dieux
J'te laisse expliquer Brownie ^^

Kwa mon poème il est juste "classe" pas de commentaire ;-;